Le 26 Novembre 1860

 

Mon Cher Comte,

Vous étiez occupé à faire de trop excellentes choses ces jours derniers, pour que j'ai osé vous déranger. Vous savez que de loin ou de près mes meilleures espérances et mes voeux les plus ardents vous suivent sur la route que vous poursuivez si courageusement.

Je ne veux cependant plus tarder à vous serrer la main, et à vous féliciter de tout ce que vous avez déjà fait et des heureux résultats que vous amènerez.

Quand vous voudrez me voir, vous me le ferez dire et vous ne cesserez pas j'en suis sûr de traiter en vieil ami.

Votre dévoué.