Soultz Haut-Rhin, le 1er octobre 1862
Monsieur le Comte et Cher Collègue,
Je ne puis résister au plaisir de vous écrire pour vous féliciter de l'éclatant service que vous avez rendu à l'Empereur en faisant triompher par votre énergie et par la loyauté de vos principes une politique qui sauvera notre pays et l'Europe de bien des malheurs !
Recevez Monsieur le Comte et Cher Collègue l'assurance de ma haute considération et de mon respectueux dévouement.