Paris le 13 8bre 1864

 

 

Mon cher Comte,

Je pars pour la Normandie où je me serais transporté beaucoup plus tôt, si le ministre des Finances n'avait pensé que je devais terminer mon installation ici et ne point quitter la place avant la résolution sur la hausse de l'escompte.

Tout cela m'a fort préoccupé et affairé, depuis quelques jours et je n'ai pu vous aller voir.

A mon retour je serai enfin tout à fait sédentaire et je serai heureux de causer avec vous et de présenter mes hommages à Mme la comtesse Walewska.

Veuillez recevoir mon cher Comte l'expression de mes sentiments dévoués.