Le 17 octobre 1865

 

Cher Ami,

En arrivant ici ce matin de Chaalis, j'apprends la perte cruelle qui vient de vous frapper. Je n'ose aller moi-même vous dire le chagrin que j'en éprouve mais je ne saurais vous le cacher, souffrez donc que je vous en adresse ici l'assurance, avec les hommages les plus sincères et mérités pour la charmante comtesse, votre dévoué.