7 janvier au soir

 

Mon cher Président,

Voici le recueil de mes discours depuis 1861.

J'ai indiqué ceux qui seraient bons à relire et j'ai barré les passages importants. De cette lecture il résultera ce me semble pour l'Empereur comme pour vous que depuis cette époque sauf de légères nuances je n'ai cessé d'affirmer la même idée. Je ne puis rien en dehors de ces données fondamentales. La conciliation n'est légitime que lorsqu'elle n'arrive pas à la contradiction.

Tout vôtre.