Mon cher Président,

Je vais mieux mais pas assez bien pour vous aller voir aujourd'hui. Je viendrai demain à Cinq heures.

Je ne suis pas de votre avis pour l'affaire Vandal.

C'est un des faits les plus nuisibles pour l'Empire qui ait eu lieu depuis quinze ans.

C'est un de ces faits d'où sortent les révolutions.

Vous ne pouvez pas vous imaginer l'exaspération que cette odieuse  que cette abominable circulaire inspire aux plus indifférents.

A demain et tout à vous.

 

P.S. : 10 février

N'oubliez pas que ce sont toujours les incidents secondaires qui produisent les grands événements.