Paris, le 29 mars

 

Mon Cher Comte,

Ma soeur me charge, en l'absence de son fils de vous demander quand vous pourrez nous recevoir un moment ; elle voudrait vous remercier de votre affectueux empressement pour sa pension et vous consulter en même temps sur la manière la plus  convenable de faire parvenir à l'Empereur l'expression de sa respectueuse reconnaissance.

Recevez, Mon Cher Comte, l'assurance de ma haute considération et de mes sentiments bien sincères.