Le 5 janvier 1867

Mon cher Walewski,

avant de me décider il faut bien que je sache à quoi m'en tenir. Mr E. Ollivier accepte-t-il la loi de la presse telle quelle existe, sauf à demander l'avis du contentieux du Conseil d'Etat pour la suppression des journaux. Voilà ce que je veux qu'on lui demande catégoriquement.

Croyez à ma sincère amitié.

Napoléon