Trélissac près Périgueux (Dordogne), le 6 août 1865
Très cher Comte,
Je comptais bien être à Paris, pour vous voir à votre arrivée.
J'ai été forcé, pour des affaires très urgentes à Périgueux, de partir plus tôt que je n'avais résolu.
Si ma présence vous paraissait utile à un moment quelconque et pour quelque cause que ce soit, soyez assez bon pour m'écrire un mot.
Mille bonnes amitiés
P. Magne