Etiolles,le 1er août 1862

Mon cher Alexandre,

J'ai reçu ta lettre de Toulouse et je ne veux pas manquer de stimuler ton ardeur puisque tu me dis qu'un mot de moi aura cet effet très salutaire.

Tu dois être établi maintenant, travaille sans relâche et pense au mois de novembre. Quelle perspective attrayante voilà de quoi stimuler ton courage.

Adieu mon cher Alexandre ma femme et mes enfants t'embrassent.

Ecris-moi et donne-moi des détails sur ton existence.