29 Janvier 1866

 

Ma chère Comtesse

Je suis sûre que vous n'aurez pas été étonnée de ne plus rien savoir pour la bonne.

Mais je ne m'en suis pas occupée ces derniers temps.

Vous avez su le malheur qui nous a frappé. A présent je suis de nouveau à vous chère Comtesse.

Je vous renvoie la petite note. Seriez vous assez bonne pour me le recopier sans le passage effaçé, trouvant qu'il admet trop la possibilité d'une seule bonne anglaise.

D'ailleurs...est très bien. Je vous ennuie bien ma pauvre Comtesse.

Excusez moi je vous prie et croyez moi,
votre affectionnée.