Villa de Prangins 16 août 1887

Chère Comtesse

Je reçois avec émotion vos voeux à l'occasion du 15 août.

Vous êtes une de mes plus anciennes et meilleures amies.

Recevez chère Comtesse l'expression de tout mon affectueux dévouement.

Votre affectionné

Napoléon

Je serai bien heureux de vous serrer la main mais mon exil nous sépare.