Madame j’ai reçu votre lettre tout ce qu’elle contient m’a fort touché. J’ai vu avec plaisir que vous étiez arrivée à Varsovie sans accident fâcheux. Ménagez votre santé qui m’est bien précieuse chassez de sombres idées : l’avenir ne doit pas vous inquiéter. Donnez moi souvent de vos nouvelles ; songez combien elles m’intéressent et apprenez moi que vous êtes heureuse et contente ; c’est mon plus vif désir.

À Trianon ce 18 décembre 1809