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Les informations ci-dessous représentent la structure des différents fonds d'archives, conformément à la terminologie précisée par la norme internationale ISAD(G) : un fonds peut être divisé en sous-fonds, série, sous-série, dossier et pièce. Si vous voulez des explications détaillées sur la façon de se déplacer dans cette hiérarchie, cliquez ici

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Échange de terre entre Johannes Vaniri et [Johannes Devanteri].
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Johannes Devanteri échange avec Anthonius, fils de Claudius Lambert et de Ysabella, une vigne située sur le territoire de Muraz (Mure) au lieu-dit En Laz Myllieriz contre une vigne sur le territoire de Collombey-Muraz au lieu-dit En Billion.
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Claudius, fils de Petrus Johandet alias Vyenyer de Muraz (Mura), avec le consentement de Johannes, fils de Claudius Meliat, habitant de Monthey, reconnaît avoir reçu de Johannes Devanteri 105 florins selon le cour de la patrie comme acquittement de pièces de prés et de forêts sur le territoire de Muraz Es Cyars /Es Scharz vendues dans un acte précédent levé par le notaire Johannes Defonte.
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Bartholomeus Payernatti (Paërnat) donzel de Monthey fait quittance et donne à Johannes Devanteri bourgeois de Monthey, notaire, tous ses droits de commission, d'échute, de fief, de titre, de part, de querelles et de plainte qu'il tient en tant que vassal direct de Franciscus de Collumberio, notaire et châtelain de Villeneuve, qui le tient lui-même du seigneur de Lornay. Il donne par ailleurs la perception sur les maisons, les granges, les étables, les citernes, les édifices et tous biens mobiliers des particuliers, ainsi que la perception sur les péages et sur l'ensemble des dépendants de la seigneurie et sur les biens desdits Burgnand repris par Petrus Escuyer, de Val-d'Illiez, sans investiture de cette échute.
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Echange entre Johannes Devanteri et Franciscus Devanteri. Johannes donne une maison avec place et cour à l'avant et à l'arrière près de la route publique allant de Monthey à Vionnaz. Franciscus Devanteri donne de son côté un jardin dans le village de Muraz (Mura) et une chènevière, ainsi que 20 florins de la patrie en tant que compensation.
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Echange entre Johannes Devanteri, bourgeois et châtelain de Monthey, et Claudius fils de Hugoninus Albi alias Nyvet de la paroisse de Vionnaz. Johannes Devanteri donne une terre sur le territoire de Vionnaz au lieu-dit Versus Lomont et 15 florins de compensation. Claudius Albi donne de son côté une pièce de terre sur le territoire de Vionnaz, au lieu-dit En La Rivionaz.
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Accord entre Johannes Devanteri, notaire, châtelain et bourgeois de Monthey d'une part, et Anthonius Devanteri, curé et recteur de Vionnaz, Claudius Devanteri, notaire, leurs soeurs, et tous les héritiers de Claudius Devanteri, cordonnier, d'autre part. Les héritiers de Claudius Devanteri, cordonnier, renoncent à leurs parts d'héritage dans la succession de Claudius Devanteri, cordonnier, en faveur de Johannes Devanteri, notaire, châtelain et bourgeois de Monthey. Ce dernier donne en compensation la moitié d'une vigne contenant environ 2 bêchées (fossoratas) sur le territoire et le vignoble de Baptionnex Vione au lieu-dit En Laz Perromaz. Il offre, en outre, une maison et ses dépendances à Vionnaz ayant appartenu jadis à Johannes Albi. Avec le consentement de l'évêque de Sion Jean Jordan, il ajoute encore, un don de 2 livres en parchemin (un antiphonaire et un graduel) se trouvant dans l'église de Vionnaz à son frère Anthonius, curé de Vionnaz.
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Franciscus Bellini, citoyen, consul de la cité de Sion, capitaine de la garde, et sa femme Nesillia de Monteolo, vendent à Johannes Devanteri, notaire et bourgeois de Monthey une vigne dans le vignoble du Martinet ayant appartenu au donzel Petrus Veteris, comme payement du travail de rénovation des reconnaissances de Franciscus Bellini par Johannes Devanteri. Une clause précise que si le montant du travail excédait le prix de la vigne, lesdits Bellini seraient tenus de verser le montant total audit Johannes Devanteri. Et réciproquement, si le montant du travail se révélait inférieur au prix de la vigne, ledit Johannes Devanteri serait tenu de payer la différence aux vendeurs.
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Mauricius, fils de Claudius Donnet de Colaire, de la paroisse de Troistorrents en raison de son neveu Johannes, fils de Aymo Donnet, habitant de Chièzes (Cheses), remet à Johannes Devanteri, notaire, châtelain et bourgeois de Monthey, la dîme et ses droits sur la dîme de Troistorrents en compensation de dettes contractées envers ledit Johannes Devanteri. Ce dernier dresse quittance de ces dettes à Mauricius, fils de Claudius Donnet.
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Johannes, fils de Petrus Pratopiri alias Vulliod, Franciscus, fils d'Anthonius Ryondet alias Bland et sa soeur Desideria, Hudria, veuve de Claudius, fils de feu Claudius Pratopiri au nom de ses pupilles, Magdalena, fille de Guillermus Guilliet de Collombey le Grand, vendent à Johannes Devanteri, bourgeois et châtelain de Monthey, 7 fauchées d'un pré dans les marécages sous Avançon, sous Muraz, aux lieux-dits Les Crêtes (Es Crestes) et Les Rigoles (Es Rygollies), pour le prix de 72 florins de Savoie. Ces fauchées procèdent pour la moitié de Hudricus et Johannes Gentison et pour l'autre moitié de Roletus, Hudricus et Petrus Segmere.
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En raison d'une dette de 420 florins contractée par son grand-père envers Johannes Devanteri, notaire, bourgeois et châtelain de Monthey, Ypolitus, fils de Franciscus, fils de Ypolitus Cappellini vend audit Johannes le pré de garantie sur le territoire de Vionnaz à Plambois (in Planobusco), au lieu-dit de Maregley. Ce pré est saisi le 5 septembre 1577 par le sautier Claudius Guerrati de la cour de Monthey, et vendu le 2 novembre. L'acte de vente et de réalisation de la dette est passé sous notaire le 2 octobre 1577 (sic) pour 3 florins de frais. Ypolitus verse par ailleurs 60 florins à Johannes Devanteri.
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Titre des actes suivants. Vente du même Claudius pour une remise. Feuilles volantes sur lesquelles sont inscrits les actes nommés par ce titre, sont rattaché au folio 36.
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Johannes Devanteri, notaire et bourgeois de Monthey, requiert le gouverneur et juge de Monthey pour la réalisation de la dette de 420 florins de Ypolitus Coppellini à charge des enfants de Francesca, fille de Petrus Donnet, femme de feu Franciscus, fils de Ypolitus Coppellini.
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Original des actes mentionnés dans l'acte des folios 33r.-35v. Il s'agit de la procédure de la réalisation des dettes de Ypolitus Coppelini par le sautier Claudius Guerrat de la cour de Monthey et de la saisie de la terre garantissant cette dette.
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Petrus de Riedmatten, gouverneur de Monthey, de la vallée de Illarsaz, de Vionnaz, de Port-Valais, de Saint-Gingolph, du lac et des montagnes ordonne la réalisation de la dette de Ypolitus Coppellini par ses héritiers. L'acte est signé par les représentant du gouverneur et porte le sceau de Petrus de Riedmatten.
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Jacobus De Prati, bourgeois de Monthey et sa femme Johanneta, Claudius, fils de feu Franciscus Votaz de Monthey, frère de ladite Johanneta, vendent à Anthonius Votaz senior de Monthey 2 pièces de pré contenant chacune un quart de fauchée sur le territoire Des Plantante pour 20 florins valaisans et 12 deniers de gros savoisiens.
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Johannes Devanteri, de Collombey-Muraz, bourgeois de Monthey, notaire, vend à Perreta, fille de Petrus Donnet dit Bagnyod, de l'Avançon, veuve de Jacobus Burdinet, son abergement composé d'une maison et d'une grange à Collombey-Muraz contre les charges, 6 sous mauriçois de plaid et un droit d'entrage de 11 et 20 florins (sic).
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Testament de Petrus Devanteri alias Sernotz (?) écuyer, de la paroisse de Vionnaz. Il demande à être enterré à Vionnaz dans la tombe de ses ancêtres. Il demande que ses héritiers fasse dire des messes à la Saint Grégoire pour le salut de son âme et de celles de ses ancêtres par son frère, curé de Vionnaz, Anthonius Devanteri. Il lègue à Franciscus fils de Claudius Berbellini 5 florins savoies contre une quittance de leurs revendications sur l'héritage. Il lègue de même à son neveu Guillermus Devanteri, 20 florins contre une quittance de ses droits sur l'héritage et sur les biens mobiliers du testataire. Petrus Barbelini reçoit un chésal, une maison et une grange dans le village de Vionnaz contre sa renonciation à l'héritage dudit Petrus. L'héritage de Petrus Devanteri est fait en faveur de son fils, de sa fille et de l'enfant qui pourrait naître après sa mort de son épouse Claudia. Ces enfants devront être nourris grâce à cet héritage, tout spécialement l'enfant qui pourrait naître. Le fils aîné bénéficiera en outre de cette clause durant ses études. Si l'un des bénéficiaires n'acceptait pas ce testament, la Claudia, épouse de Petrus Devanteri, tutrice de ce testament, avec l'aide des conseillers mentionnés dans le testament, devrait le punir dans son héritage et par d'autre mesures juridiques. Enfin, si tous les héritiers venaient à mourir, il donne à son parent Henricus, fils de feu Jacobus Devanteri sa maison de Muraz, à son frère Glaudius Devanteri tous ses autres biens sur le territoire de Muraz et à sa épouse Claudia ses biens sur le territoire de Vionnaz.
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Règlement d'un droit d'entrage de 160 florins pour une maison, sa grange et ses dépendances dans le village de Muraz (Mura) vendue en abergement par Johannes Devanteri à Peroneta, fille de Petrus/Claudius Donnet alias Bagniode. Cette dernière vend audit Johannes, avec l'accord de sa soeur Johanneta, veuve de Claudius Guilliot de Collombey le Petit, 2 pièces de terre sur le territoire de Muraz et de l'Avançon (Arvasson) En Laz Viderdaz et au lieu-dit Cyard. Elle lui vend en outre, avec l'accord de son frère Johannes Donnet alias Bagniod et de leur mère Johanneta Bagnodi, 2 pièces de pré sur le territoire de Muraz à Maneyron et à Ou Vorsier.
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Claudius, fils de feu Claudius Foresteri, habitant de Monthey, notaire, et sa femme Francisca, fille de feu Ludovicus Jaquis, de Collombey le Petit, vendent à Johannes Devanteri, bourgeois, capitaine et châtelain de Monthey, notaire, une petite maison, une étable et les dépendances, un vivier (virida), à Monthey au lieu-dit Monyez. Ces biens avaient appartenu à Desiderius Deprato dit Antonodaz. Ladite Francisca accorde son consentement quelques jours plus tard devant témoins. Jacobus Devanteri, fils de Johannes Devanteri verse au nom de son père 63 florins valant 12 gros pour le prix de cette vente.
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Echange entre Petrus, fils de Johannes Devanteri, bourgeois et notaire de Monthey, alias Castellanis Montheoli, d'une part, et Johannes Devanteri, notaire, d'autre part. Petrus Devanteri échange une pièce de vigne et un pré sur le territoire de Muraz dans les Vignes Supérieures à En Chavellegre. Johannes Devanteri donne en contrepartie une vigne sur le territoire de Muraz dans les Vignes Supérieures de Billion et 10 florins savoies.
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Echange entre Johannes, fils de feu Franciscus Sovey alias Dobrent, bourgeois de Monthey, d'une part, et Johannes Devanteri, notaire, bourgeois et ancien châtelain de Monthey, représenté par son fils Jacobus Devanteri, notaire, d'autre part. Johannes Sovey donne en échange à Johannes Devanteri une pièce de pré et de verger sur le territoire de Monthey au lieu-dit Du Verger du Mayor. Johannes Devanteri donne de son côté une pièce de pré, de jardin et de verger sur le même territoire au lieu-dit Pré de Mayor, qu'il a acquis de Claudius Rabodi alias Panis, habitant de Monthey. Le 18 mars de l'année suivante, les parties ratifient l'accord. Jacobus Devanteri verse au nom de son père 80 florins tournois de compensation. Le 24 novembre 1584 le gouverneur de Monthey Bartholomeus Allet, porte-étendard de Loèche, confirme l'acte.
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Johannes, fils de feu Franciscus Sovey alias Brent, bourgeois de Monthey de la paroisse de Collombey vend à Johannes Devanteri autrefois châtelain de Monthey, représenté par Jacobus Devanteri, notaire, une pièce de pré avec un verger sur le territoire de Monthey de Menye au lieu-dit du Verger Des Maior pour 1000 florins petits poids et 30 florins petits poids de dépenses. Johannes Devanteri s'acquitte du payement par la transmission audit Johannes Sovey d'obligations contractées envers lui par Johannes Desiderius Basqueraz, par Petrus Grangier, habitant de Troistorrents, par Claudius Forestier, par Clauidius Devanteri, notaire, par Franciscus Metyat, habitant de Monthey, par Leodegorius Depratis et par Claudius Bussien de Monthey. Le 18 mars 1583 Jacobus Devanteri verse à Johannes Sovey la somme complémentaire de 20 florins petits poids. Le 24 novembre 1583 Bartholomeus Allet, porte-étendard de Loèche, gouverneur de Monthey pour le seigneur du Valais, confirme et ratifie cette vente.
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Claudius Devanteri , bourgeois de Monthey, notaire, vend à Johannes Devanteri bourgeois de Monthey, ancien châtelain de Monthey, une pièce de pré, de verger et de jardin, avec ses dépendances sur le territoire de Monthey au lieu-dit Moynier, pour 300 florins et les taxes dues pour ce fief aux frères Guilli[ermus] et Aymo Decastilionis. Le payement s'effectue de la manière suivante : 160 florins or et argent sont versés directement au vendeur, 80 florins acquitte l'obligation de Claudius envers Johannes, et 60 florins sont versés en nature (vin).
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Dettes de Johannes fils de feu Franciscus Sovey alias Debrent, bourgeois de Monthey envers Johannes Desiderius Basqueraz, bourgeois de Monthey. Le débiteur s'acquitte d'une partie de sa dette en résiliant la garentie posée sur un pré à Monthey au lieu-dit In Prato Majoris. Il assigne 320 florins en faveur de Johannes Desiderius Basqueraz sur une pièce de vigne dans le vignoble de Monthey au lieu-dit Es Follies et sur une pièce de terre à Monthey au lieu-dit En Resset. Il doit cependant payer 2 cens de 16 florins et 5 florins à la Saint-Martin sous peine de réalisation des terres servant de garentie. Le gouverneur de Monthey, Bartholomeus Allet, confirme cet acte le 23 décembre 1583.
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Johannes Marquesius, de Monthey, notaire cède à Johannes Devantero, bourgeois et ancien châtelain de Monthey, une pièce de gravier contenant environ 2 fosses et sise Outre Vièxe (Viesa) au lieu-dit Sous la Reconcyeriz, pour 18 florins petits poids. Il assure les frais des 4 copies notariées.
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Johannes Bergier dit de Hospitali, de Aquetis (des Evouettes) dans la paroisse de Port-Valais, agissant au nom de son épouse Johanneta, reconnaît avoir reçu de Johannes Devanteri et de son épouse Claudia 200 florins petits poids du Chablais. Cette somme d'argent avait été promise au couple Bergier dans leur contrat de mariage comme acquittement des dettes suivantes : 150 florins de Dionisus fils de feu Nycodiopirin, 40 florins de Petrus fils de feu Perretus Nyvet alias Joly, 11 florins de Johannes Devanteri versés devant le marchand Petrus Oddeti. Bargier dresse quittance de cette somme de 200 (sic) florins.
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Johannes Forel, clerc de Cully, agissant au nom de Andreas Joffrey, bourgeois de Vevey, tuteur et administrateur des héritiers de son frère Franciscus Joffrey, reconnaît avoir reçu de Johannes Devanteri 700 florins petits poids de monnaie de Savoie pour éteindre l'obligation qu'il avait contractée à son égard, ainsi que 70 florins à titre d'intérêt. Ledit Forel dresse quittance à Johannes Devanteri, annulant l'acte d'obligation fait par ledit Devanteri le 2 mars 1573.
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Johannes Julliardi, fils de Mauricius Julliardi alias Gravet, réclame à Johannes Devanteri, notaire, un complément de la somme de 600 florins versée dans la vente du 18 février 1566 de ses droits sur les héritages de sa famille; la valeur de ceux ci s'étant en effet révélée supérieure. Johannes Devanteri convient avec Mauricius Julliardi, père de Johannes Julliardi, de verser 170 florins dont 130 florins ont été versé le 12 décembre 1575 par ledit Devanteri pour la rémission du capital de 100 florins et du cens de 5 florins d'une rente constituée contractée par ledit Johannes Julliardi le 7 février 1565 en faveur des héritiers de Guillermus Fay. En contrepartie des 130 florins versés par ledit Devanteri à Petrus Fay, Johannes Julliardi reçoit de Petrus Fay, devant le sautier de la cour de Monthey, Claudius Guerrat, 6 vaches, une jument, divers biens mobiliers ainsi que l'engagement de payer le tiers des frais de la procédure.
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Pour mettre fin à de nombreuses querelles, Johannes Devanteri, notaire, en son nom et au nom de son neveu Claudius Nycholleratti, fils de feu Claudius Nycholleratti, trouve l'accord suivant avec le consortage des hommes représentés par le syndic de Troistorrents Michael Berrut, au sujet de la petite et de la grande dîme de la paroisse de Troistorrents (limitation géographique de ces dîmes dans le texte). Johannes Devanteri et son neveu ne lèveront désormais que la part de la dîme levée par Claudius Nycholleratti, père dudit Nycholleratti, ainsi que le cens qui l'accompagne. Le consortage représenté par le syndic de Troistorrents s'engage à verser annuellement à domicile à Johannes Devanteri 6 coupes de blé, froment ou orge mesure de Monthey. En contrepartie, Johannes Devanteri les tiendra quitte pour toute charge, pour tout service ou tribu annuel sur la dîme, sur les propriétés (dominium), sur les propriétés féodales et sur les propriétés directes.
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Johannes Fay, agissant au nom de sa mère Jana Sovey, réalise la dette de 200 florins petits poids de Savoie contractée envers Petrus Grangier, de Troistorrents. Le remboursement s'effectue grâce à 100 florins provenant de l'héritage de Claudia Sovey en faveur des soeurs Jana et Pernon Sovey, et grâce à une rente constituée par Mauricius Magro de 90 florins et assigné sur une terre. Johannes Sovey assigne ces 200 florins sur une pièce de forêt sur le territoire de Monthey au lieu-dit dit En Laz Raquyonsaz. Il compense encore cette assignation par 6 quarts de monnaie de Savoie. Les partie convienne de considérer cette assignation comme une rente constituée pour une durée de 2 ans contre un cens annuel de 2 coupes de châtaigne mesure de Monthey. Jana met à disposition de son créancier, pour la durée de cette assignation, sa grange pour y entreposer les fruits de la forêt susmentionnée.
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Johannes Devanteri, représenté par son fils Jacobus Devanteri, notaire, verse 200 florins à Petrus Grangier, de la paroisse de Troistorrents, pour la rémission du capital de la rente constituée contractée par Johannes Sovey. Ledit Grangier dresse quittance de ces 200 florins pour Johannes Devanteri et Johannes Sovey.
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Claudius Rabodi vend une parcelle de verger sur le territoire de Monthey au lieu-dit de Meynye qu'il avait achetée le 30 août 1575 à Johannes Desiderius Basqueraz. Il devait en effet à l'acheteur Johannes Devanteri, notaire, bourgeois et ancien châtelain de Monthey 50 florins, 25 florins d'honoraire et 30 florins payés depuis par Johannes Prymaud. Quittance de Johannes Devanteri pour Claudius Rabodi.
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Johannes Desiderius Basqueraz vend Claudius Rabodi alias Panis une pièce de verger sur le territoire de Monthey au lieu-dit de Myenye pour 40 florins petits poids. (cf. voir l'acte précédent)
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Notes donnant référence à des actes de ventes, à des quittances ou à des remises se trouvant dans un quernet

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