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CH > AASM > LIB > 000 > 000 > 009

            
               
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Le duc de Savoie, Amedeus, ordonne ponctuellement à ses maîtres et receveurs des comptes, à son châtelain de Sembrancher et d'Entremont, ainsi qu'à ses autres officiers de se conformer exactement à une déclaration annexe 0 0/9/49.
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Ludovicus, duc de Savoie, confirme une ordonnance du 7 juin 1415 CH AASM LIB 000 000 009 0049 de son père Amedeus, duc de Savoie, qui est devenu depuis le pape Faelix V . Cette ordonnance interdit à tous les officiers de contrevenir à certains points touchant la juridiction à Bagnes, en particulier en ce qui concerne la perception des subsides, sous peine de 25 livres.
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Franciscus de Sassone, donzel, et son épouse Margareta vendent à l'abbaye pour le prix de 20 livres mauriçoises :
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Franciscus de Sassone, donzel, et son épouse Margareta vendent à l'abbaye pour le prix de 20 livres mauriçoises :
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Petrus de Morestello, chevalier, noble, vidomne de Bagnes tenait de l'Abbaye le vidomnat de Bagnes et un fief. Comme il a fait un serment illicite et qu'il refuse de se présenter devant la cour de l'abbé, il est condamné par sentence à perdre son fief qui est adjugé à l'Abbaye.
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L'abbé Bartholomeus remet en échange ou plutôt vend à Aymo, comte de Savoie, tous les droits de mère et mixte empire et d'omnimode juridiction qu'il a sur le vidomnat d'Ollon et spécialement la moitié indivise de ce vidomnat acquise d'Edouardus, comte, de sorte qu'il le tienne en fief de l'Abbaye et qu'il en rende hommage à l'Abbé. Ce que le comte Aymo a fait sur le champ, s'obligeant, de plus à 100 sous de plaid à chaque changement de vassal et à 7 livres mauriçoises de cense annuel à assignées sur son avanterie d'Orsières dont il répond, outre 80 livres mauriçoises comptées à l'Abbé pour la moitié du vidomnat. De même, il est écrit 1° que l'Abbé pourra se faire payer de tous les autres droits dans la paroisse d'Ollon à cause de ses fiefs et abergements par voie de saisie des fiefs et abergements de sa seule autorité et sans recourir à aucun autre supérieur 2° qu'il conservera comme auparavant sa jurisdiction omnimode (sauf la peine du sang) dans le territoire de sa maison de Salaz et ses abergements des fontaines de Rutic et des Moulins (des Rucys de fontibus et de molendino), sur toutes les personnes de ces lieux, les punissant de leurs délits etc.
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Sentence d'appel, rendue par le représentant du comte de Savoie, en faveur de Martinus Chiarelli qui annule la précédente condamnation, prononcée par Jacobus Sostionis, à payer 15 livres mauriçoises à l'abbaye de Saint-Maurice pour divers actes.
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Plainte de l'abbé de Saint-Maurice contre les habitants de Bagnes. Ces derniers se sont soustraits à l'obéissance de l'abbé, et ont pénétré à main armée dans la maison de l'Abbaye à Bagnes; ils l'ont en partie saccagée et ont jeté des vases en argent et des documents scellés dans les eaux [de la Drance]. Ils ont agi ainsi à l'occasion de la guerre qui a fait passer le gouvernement de Saint-Maurice de la domination du duc de Savoie sous celle de l'évêque et de LL. EE. du Valais. L'Abbaye porte plainte au pape qui fait fulminer des peines et un monitoire contre les coupables.
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Audience apostolique concernant les actes illicites commis par les gens du Val de Bagnes à l'encontre de la maison de l'abbaye de Saint-Maurice située dans ce lieu.
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L'évêque de Sion Vualterus réintègre l'abbé, à sa prière, dans tous les anciens droits qu'il aviat sur la vallée de Bagnes. Il se réserve tous les droits dont jouissaient les ducs de Savoie.
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Annonce des décisions prises par l'évêque de Sion à la population des paroisses de Bagnes et Vollèges suite aux actes illicites commis par les gens de Bagnes à l'encontre de la maison de l'abbaye de Saint-Maurice se trouvant à Bagnes.
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Les abbés en tant que de vidomnes de Bagnes possèdent l'omnimode juridiction dans la vallée de Bagnes durant les mois de mai et d'octobre, que le prince [de Savoie] ait été ou non dans l'Entremont. Les 4e et 12e articles d'un traité précédant [8/2/12] pouvaient porter atteinte aux abbés. L'évêque Matheus Schiner et l'abbé Joannes Alingii ajoute plusieurs adjonctions à ce traité : 1° Que l'abbé, en qualité de vidomne et selon le droit de vidomnat, peut, l'évêque de Sion étant même entre Martigny et l'Entremont, exercer l'omnimode juridiction, exiger les plaits accoutumés des sujets de la vallée de Bagnes, imposer les peines et y exercer l'omnimode seigneurie durant les mois de mai et d'octobre ; 2° Que en tout temps, les droits régaliens sont cependant réservés à l'évêque selon les mode et forme contenues dans le précédant acte daté du 15 janvier ; 3° Que moyennant cette déclaration de l'évêque et de l'abbé, toutes leurs prétentions réciproques seront censées, cassées, quittées et pacifiées, etc.
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Approbation par Matheus Schiner, évêque de Sion, et Joannes Alingii, abbé de Saint-Maurice, d'un acte passé le 19.02.1501 et concernant la juridiction dans la vallée de Bagnes.
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L'évêque Nicolaus Schiner et plusieurs autres personnes ratifient des actes passés le 21 février 1501 dans le choeur de l'église de Valère.
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L'évêque de Sion, Matheus Schiner, assure à l'abbaye sur tous ses revenus de Bagnes une pension annuelle de 100 florins du Rhin, chaque florin valant 3 tertons, redimable cependant pour la somme de 2000 florins.
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Ratification d'un acte d'acquisition CH AASM LIB 000 000 009 0066 fait par Humbertus et Matheus Lostan et par leur mère, comme leur tutrice.
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Le noble Regnatus Losthani alias de Liddes, agissant en son nom et aux noms de ses frères les nobles Humbertus et Matheus Losthani, vend à l'abbé Joannes Militi pour le prix de 540 écus d'or sol au coing du roi de France, tous les biens, cens, rentes, usages, tributs, fiefs directs, commises, plaits, souffertes, laods, ventes, échutes, propriétés, taillabilités, hommages, dîmes etc qui appartiennent aux vendeurs, avec tous leurs droits, titres etc. dans la vallée et les paroisses de Bagnes, Vollèges, Sembrancher, Orsières, Liddes et Bourg Saint-Pierre et depuis la perche Mont-Joux en-bas, sous les mêmes charges et honneurs, etc.
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L'évêque de Sion, Joannes Jordani, et les sept dizains ont approuvé un acte de vente daté du 30 août 1552 et concernant la vallée de Bagnes et l'Entremont (cf. CH AASM LIB 000 009 0066). Ils l'ont confirmé dans tous ses points, sans déroger cependant à leurs droits et à ceux de toute autre personne. Ces lettres de ratification ont été données le 18 décembre 1564 et sont annexées à cet acte d'acquis.
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L'abbé de Saint-Maurice, Guillielmus, ordonne à Hugo Cortesii, familier à Bagnes, de se saisir en son nom des biens meubles et immeubles de Jaqueta Fabrissa, enfant naturelle (bâtarde) décédée sans enfants, et, pour cette raison, échuts à l'abbé en qualité de seigneur général de la vallée suivant l'ancien usage.
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L'abbé Adrianus de Riedmatten, après un grand débordement de la Drance (débâcle du Giétroz), ordonne de la remettre dans son cours selon les règles qu'il donne.
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Lettre de l'évêque de Sion à l'abbé de Saint-Maurice, Pierre de Grilly pour le solliciter à chasser les hérétiques de sa juridiction de la vallée de Bagnes. L'évêque menace de se rendre en personne dans la vallée de Bagnes, si l'abbé n'exécute pas ses ordres.
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Lettre de l'évêque de Sion à l'abbé de Saint-Maurice, Pierre de Grilly, afin de le solliciter pour trois causes urgentes concernant :
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Accord entre l'abbé de Saint-Maurice et le curé de Bagnes, Petrus de Fossato. Cet accord fait suite à un litige concernant une maison et la moitié d'une grange devant, selon Petrus de Fossato, appartenir au curé de Bagnes. L'acte situe précisément la maison et la grange.
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Suite à un litige pendant entre Henricus de Bagnes, chanoine et procureur ou économe de l'abbaye de Saint-Maurice, et Seguinus de Bagnes, ce dernier n'a pas comparu devant l'abbé au jour fixé. L'abbé ordonne alors à son curial de Bagnes de le citer à nouveau devant lui, l'avertissant que s'il ne comparaissait pas, la sentence serait portée malgré tout.
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Le curé de Bagnes, Jordanus de Sancto Symphoriano, vend à Joannes Deffilii et sa soeur Agnexala une pièce de pré située au Pré Resiey.
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La cure de Bagnes étant vacante, Petrus de Fossato, clerc, promet à l'abbé P., patron de cette cure, que s'il veut le présenter à l'évêque de Sion pour la cure de soutenir et défendre pleinement le droit qu'il aura acquis par cette présentation aussi bien que le droit de l'Eglise et de l'Eglise d'Agaune. Il donne pour répondant de sa parole Jacobus de Novilla, chanoine de Sion, et Joannes de Reverea, clerc.
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Petrus Nebularii de Chambéry, curé de Bagnes, et successeur de Jordanus, reconnaît - après quelques petites contestations - les droits de Bartholomeus, abbé de Saint-Maurice, sur la maison de la cure de Bagnes et sur les curés. Cette maison est située à côté de l'église de Bagnes.
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Jacobus de Insula, curé de Bagnes, a confessé devoir à l'abbé et à ses successeurs toutes les choses que ses prédécesseurs ont reconnu lui devoir, c'est-à-dire le logement, les linges, les nappes, "l'ortolagio" (?), les ustensiles, les chandelles de cire, ainsi que d'autres choses accoutumées. De même, il reconnaît être obligé de le recevoir une fois par année lorsqu'il vient à Bagnes avec toute sa comitive d'une manière décente et comme il a été accoutumé, déclarant que lorsqu'il sera mieux instruit des choses auxquelles il est tenu, il les manifestera et reconnaîtra à l'abbé, ainsi qu'il y est obligé.
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Murisodus, fils de feu Bruno Clerici, de Bagnes, vend toute l'alpe Neuve des Planeys de Verbier au seigneur Jordanus, curé de Bagnes et chanoine de Saint-Maurice, pour la somme de deux sous mauriçois.
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Après la mort de Joannes Mugneri, curé de l'église de Bagnes, l'abbé de Saint-Maurice présente au patriarche de Jérusalem et administrateur de l'archevêché de Tarentaise le nouveau curé de Bagnes, Joannes de Luglino.
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Présentation du curé de Bagnes, Joannes de Luglino, faite par l'abbé de Saint-Maurice Joannes et le Chapitre au patriarche de Tharentaise et l'institution collative que celui-ci lui a accordée pour la cure de Bagnes.
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Transaction entre l'abbé Joannes Garreti et Jean Mugnerii, curé de Bagnes, au sujet de la maison de la cure. L'acte donne la situation géographique de la maison de la cure et fait référence à un document instrumenté par le notaire Franciscus Moren le 16 novembre 1369.
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Échange d'un pré avec une grange situé en la Verchisieriz et d'une pièce de pré située à Bagnes vers l'église. Cet échange a lieu entre l'abbé de Saint-Maurice, Jean Sostion, et le curé de Bagnes.
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Accord entre Petrus Layacti, curé de Bagnes, et Bartholomeus Sostionis, abbé de Saint-Maurice. Le curé de Bagnes convient des retards sur les droits de l'abbé sur la cure de Bagnes et reconnaît devoir ces droits.
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Maurice Bruchassy, curé de Bagnes, reconnaît les droits de l'abbé de Saint-Maurice sur la cure de Bagnes. L'acte mentionne des lettres patentes de l'évêque de Sion datées du 16 février 1568 et le précédent accord concernant la cure de Bagnes, daté du premier avril 1533 et passé entre le curé de Bagnes et l'abbé de Saint-Maurice
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Amedeus, comte de Savoie, ordonne à ses juges de s'informer de quelle manière le château de Verbier a été gardé pendant les guerres passées entre le comte de Savoie et le Valais, et de faire observer la même coutume à l'avenir.
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Jacobus Demargenzello, curé de l'église paroissiale de Saint Martin de Vollèges, reconnaît devoir payer 20 sous mauriçois par an à la Saint Jean-Baptiste, à Emericus de Monte Forti, sacristain de l'abbaye de Saint-Maurice.
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Petrus Ballens, curé de la paroisse de Saint-Martin de Vollèges, reconnaît devoir payer 20 sous mauriçois par an à la Saint-Jean-Baptiste, à Ansermus Ogerii, sacristain de l'abbaye de Saint-Maurice. L'acte mentionne un acte précédent datant du 20 octobre 1417.
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Fondation d'une chapelle dans l'église de Vollèges, dédiée à la Vierge Marie, par la volonté de Petrus Ballens, curé de Vollèges; l'acte détaille les biens que le curé laisse en dot à la chapelle et ce qu'il demande en échange pour le repos de son âme.
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Autorisation de Walter Supersaxo, évêque de Sion, pour la fondation de la chapelle dans l'église de Vollèges voulue par le curé le 20 août 1474.
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Supplique adressée à l'évêque de Sion pour la création d'une chapelle dans l'église de Vollèges.
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Institution de la chapelle dédiée à la Vierge Marie voulue par le curé de Vollèges, dans l'église de Vollèges, par l'évêque de Sion
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Le curé de Vollèges, après avoir reçu l'autorisation de fonder et doter une chapelle dédiée à la Vierge Marie, en reçoit également le droit de patronage. Après son décès, l'abbé de Saint-Maurice sera chargé de nommer les successeurs.
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L'évêque de Sion, après la mort de Franciscus Chardonnaz, dernier recteur de la chapelle de la Vierge Marie de l'église de Vollèges, et à la demande de l'abbé de Saint-Maurice nomme le recteur de la chapelle.
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Après la mort de Petrus Anselli, dernier recteur de la chapelle de la Vierge Marie dans l'église paroissiale de Vollèges, l'évêque de Sion nomme Angelinus Mullatherii nouveau curé et recteur de cette chapelle.
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Après le décès de Petrus Trollieti, dernier recteur de la chapelle de la Vierge Marie dans l'église paroissiale de Vollèges, son procureur, Franciscus Cornuti, a repris les droits que le feu Petrus avait sur cette chapelle.
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Bref du pape Sixte IV : il exige de l'évêque de Sion et de l'Etat qu'ils restituent à l'abbé et l'Abbaye la juridiction de Bagnes avec tous ses droits, comme immédiatement dépendante du Saint-Siège.
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Bref du pape Sixte IV. Il prie les seigneurs de Berne et de Fribourg d'exiger de l'évêque de Sion, Waltherus, qu'il restitue à l'abbé de Saint-Maurice sa juridiction de Bagnes.
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Bref apostolique de Sixte IV. Le pape exhorte l'évêque de Sion de restituer à l'abbaye la vallée de Bagnes et il menace les seigneurs d'excommunication.
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Le pape Innocent VIII exhorte Leurs Excellences de Berne à secourir l'Abbaye dans ses besoins et les établit en quelque sorte ses protecteurs.