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Les informations ci-dessous représentent la structure des différents fonds d'archives, conformément à la terminologie précisée par la norme internationale ISAD(G) : un fonds peut être divisé en sous-fonds, série, sous-série, dossier et pièce. Si vous voulez des explications détaillées sur la façon de se déplacer dans cette hiérarchie, cliquez ici

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Etiquette
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Jacques de Noville, chanoine de Sion, collecteur de la dîme accordée au roi de France et receveur des procurations accordées au légat dans le royaume de France, confesse avoir reçu 10 livres viennoises de la procuration de l'église de Saint-Maurice d'Agaune pour la seconde année.
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Jacques de Noville, chanoine de Sion, collecteur de la dîme accordée au roi de Sicile, confesse avoir reçu 15 livres mauriçoises de l'abbé et couvent de Saint-Maurice d'Agaune pour la première année.
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Jean Bartholomei, recteur de la maison abbatiale d'Ollon, étant devenu abbé de Saint-Maurice en 1356, établit à sa place dans la dite rectorie en 1357 son chanoine Guillaume de Liddes. Mais Guillaume Posselli, soi-disant chanoine régulier, obtient des lettres patentes du pape Innocent VI pour impétrer cette rectorie et cherche à s'en mettre en possession. L'Abbaye s'y oppose et prouve que Ollon n'a jamais été envisagé que comme une grange et métairie de l'Abbaye sans aucune apparence de bénéfice. A la fin d'un long procès devant Bernard de Bosqueto, auditeur du palais du pape, l'abbaye est delivrée des poursuites et Posselli est débouté.
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Hugo Pascalis, chanoine de Sion, sous-collecteur apostolique, déclare, sur instance de Guillaume de Lydes, la grange d'Ollon exempte de toutes décimes papales, parce qu'il ne s'agit pas d'un bénéfice ecclésiastique.
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Le procureur élu du collège des cardinaux, Pierre Spoletanus, donne quittance à Barthélemy de Bartholomeis, abbé de Saint-Maurice, pour la somme de 125 florins d'or payée au collège des cardinaux, et de 5 florins 2 1/2 gros tournois 1 denier payés pour leurs familles.
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Etienne Galopini, chanoine de Lausanne et sous-collecteur de la décime papale, envoie à Ambricus Rodulphi, collecteur apostolique, un rapport sur son voyage fait du 10 au 12 septembre 1368 à Saint-Maurice. Il en résulte qu'on ne constate pas clairement que les membres de l'Abbaye payent chacun en particulier la décime papale, et que les rentes de l'Abbaye ne se montent qu'à 307 livres et les dépenses ordinaires à 364 livres, sans compter les réparations des bâtiments et les dépenses du vestiaire, de la table et de la famille de l'abbé.
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François de Willens, chanoine et procureur de Saint-Maurice, présente à Etienne Galopini, chanoine de Lausanne et vice-collecteur de la décime papale, les revenus de l'Abbaye. Ensuite le sous-collecteur examine sept témoins, en partie des religieux de l'Abbaye, en partie des personnes qui ont une grande connaissance des affaires de l'Abbaye, sur trois points: 1° quels sont les revenus de l'Abbaye; 2° quelles sont ses dépenses nécessaires; 3° s'il est vrai que les membres ne contribuent point avec l'Abbaye pour la taxe de 108 florins, mais qu'ils payent à part.
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L'antipape Benoît XIII ayant, vers l'an 1400, imposé pour cinq ans une nouvelle décime sur tous les revenus des églises de son obédience, l'abbé Jean Garreti et les chanoines de Saint-Maurice se voient obligés de présenter une nouvelle supplique à Jean de Verbouz, collecteur de la décime papale en Savoie. Ils exposent ce qui s'est passé en 1365 et 1368, et déclarent que l'Abbaye, surchargée de toutes parts et accablée de dettes, est forcée de vendre des fonds, et supplient le dit collecteur de leur apporter quelques remèdes.
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Jean de Verbouz, collecteur de la décime papale en Savoie, déclare qu'à l'exclusion absolue de ses membres déjà soumis à la décime, l'abbé de Saint-Maurice et son couvent payeront désormais la moitié de la décime qu'ils payaient ci-devant, et il interdit aux sous-collecteurs de demander plus, à moins que le Saint-Siège en dispose d'une autre manière.
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Jean Cristini, prévôt de l'église de Lausanne, collecteur général de la décime papale, délivre l'abbé de Saint-Maurice, Jean Sostion, au nom de la chambre apostolique de toutes les prétentions qu'on a formé contre lui concernant le retard des paiements de la décime papale et le spolium de l'abbé défunt, parce qu'il apprend que l'Abbaye est pauvre et a besoin de réparer son église et ses bâtiments.
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Amédée VIII, duc de Savoie, antipape sous le nom de Félix V, réduit par une bulle la taxe de la décime ou demi décime papale due par l'abbaye de Saint-Maurice soit de 36 florins d'or de camera par an à la somme de 20 florins.
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Quittance de Jacques (Vannucci), évêque de Pérouse, trésorier de la chambre apostolique, par laquelle on voit que Guillaume Bernardi, curé d'Ollon, a été taxé pour l'annate ou demi-fruits de la première année de cette cure à la somme de 26 florins d'or de camera et qu'il les a effectivement payés.
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