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Les informations ci-dessous représentent la structure des différents fonds d'archives, conformément à la terminologie précisée par la norme internationale ISAD(G) : un fonds peut être divisé en sous-fonds, série, sous-série, dossier et pièce. Si vous voulez des explications détaillées sur la façon de se déplacer dans cette hiérarchie, cliquez ici

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Etiquette
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Jean dit Curtasulla, de Saint-Maurice, échange avec l'Abbaye sa maison qui est du fief de l'Abbaye, sise devant la porte de même Abbaye (devenue depuis maison de l'aumônerie), contre la loye ou nansoir dou Croset qui est sous le pont, à condition que ledit Jean fera tous les frais de maintenance de ladite loye et qu'il donnera à l'Abbaye la moitié de tous les poissons, qui s'y prendront. Ledit Jean se réserve l'habitation dans la susdite maison pendant sa vie, et cède à l'Abbaye la mieux-value, s'il s'en trouve dans cet échange.
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L'abbaye de Saint-Maurice amodie pour 9 ans à Jean Charléti la loye (soit nançoir) de " Croso " pour le prix annuel de 20 sous et une truite valant 3 sous. Il devra en outre entretenir cette installation de pêche.
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Martin de Lotton, de Lavey, vend à l'abbé Michel Bernardi [Michel Bernardi d'Allinges] la moitié d'une loye, sise au pied de l'Avançon et entre les 2 seigneuries de Lavey et d'Arbignon, pour 10 florins.
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Le bailli du Chablais ayant ordonné aux châtelain et officiers de Saint-Maurice de détruire sur le Rhône le nansoir de l'Abbaye, le chapitre (le siège abbatial étant vacant) eut recours au duc Louis [Louis de Savoie], lui représenta l'ancien possessoir où étoit l'Abbaye de pêcher et faire pêcher d'un côté et de l'autre du Rhône proche de la ville de Saint-Maurice et le supplia de faire lever ces empêchements et d'ordonner à sesdits officiers de la maintenir dans son ancien droit, ce que ce prince accorda fort gracieusement, ordonnant cependant de citer devant son Conseil les opposants, s'il s'en trouvait. Yolande, mère et tutrice du duc Philibert [Philibert I le Chasseur], renouvelle la précédente ordonnance du duc Louis et commande à tous les officiers ducaux, sous peine de 100 livres, de la mettre en pleine exécution.
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Le bailli du Chablais ayant ordonné aux châtelain et officiers de Saint-Maurice de détruire sur le Rhône le nansoir de l'Abbaye, le chapitre (le siège abbatial étant vacant) eut recours au duc Louis [Louis de Savoie], lui représenta l'ancien possessoir où étoit l'Abbaye de pêcher et faire pêcher d'un côté et de l'autre du Rhône proche de la ville de Saint-Maurice et le supplia de faire lever ces empêchements et d'ordonner à sesdits officiers de la maintenir dans son ancien droit, ce que ce prince accorda fort gracieusement, ordonnant cependant de citer devant son Conseil les opposants, s'il s'en trouvait. Yolande, mère et tutrice du duc Philibert [Philibert I le Chasseur], renouvelle la précédente ordonnance du duc Louis et commande à tous les officiers ducaux, sous peine de 100 livres, de la mettre en pleine exécution.
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Le bailli du Chablais ayant ordonné aux châtelain et officiers de Saint-Maurice de détruire sur le Rhône le nansoir de l'Abbaye, le chapitre (le siège abbatial étant vacant) eut recours au duc Louis [Louis de Savoie], lui représenta l'ancien possessoir où étoit l'Abbaye de pêcher et faire pêcher d'un côté et de l'autre du Rhône proche de la ville de Saint-Maurice et le supplia de faire lever ces empêchements et d'ordonner à sesdits officiers de la maintenir dans son ancien droit, ce que ce prince accorda fort gracieusement, ordonnant cependant de citer devant son Conseil les opposants, s'il s'en trouvait. Yolande, mère et tutrice du duc Philibert [Philibert I le Chasseur], renouvelle la précédente ordonnance du duc Louis et commande à tous les officiers ducaux, sous peine de 100 livres, de la mettre en pleine exécution.
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Le bailli du Chablais ayant ordonné aux châtelain et officiers de Saint-Maurice de détruire sur le Rhône le nansoir de l'Abbaye, le chapitre (le siège abbatial étant vacant) eut recours au duc Louis [Louis de Savoie], lui représenta l'ancien possessoir où étoit l'Abbaye de pêcher et faire pêcher d'un côté et de l'autre du Rhône proche de la ville de Saint-Maurice et le supplia de faire lever ces empêchements et d'ordonner à sesdits officiers de la maintenir dans son ancien droit, ce que ce prince accorda fort gracieusement, ordonnant cependant de citer devant son Conseil les opposants, s'il s'en trouvait. Yolande, mère et tutrice du duc Philibert [Philibert I le Chasseur], renouvelle la précédente ordonnance du duc Louis et commande à tous les officiers ducaux, sous peine de 100 livres, de la mettre en pleine exécution.
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Lettre de l'abbé Pierre Odet [Pierre Maurice Odet] au gouverneur d'Aigle : le ministre de Bex prétendait avoir un nansoir sur le Rhône rière la juridiction de Lavey, ce que ledit abbé voulait empêcher.
            Chercher à partir d'iciVisualiser la fiche+ 006~01
Jean-François Murisier ayant obtenu de LL EE. le 13 décembre 1708 l'abergement d'un nansoir au Bois-Noir vis à vis du village d'Eslex, abergé déjà en 1645 à l'Abbaye et cela pour l'espace de 15 ans, moyenant 25 livres de poissons payable annuellement au seigneur gouverneur, il fit en 1709 une convention avec l'Abbaye sous diverses conditions, dont la principale était de partager avec elle le poisson.
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Jean-François Murisier ayant obtenu de LL EE. le 13 décembre 1708 l'abergement d'un nansoir au Bois-Noir vis à vis du village d'Eslex, abergé déjà en 1645 à l'Abbaye et cela pour l'espace de 15 ans, moyenant 25 livres de poissons payable annuellement au seigneur gouverneur, il fit en 1709 une convention avec l'Abbaye sous diverses conditions, dont la principale était de partager avec elle le poisson.
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Quelques particuliers de Lavey ayant construit un vannel sur le Rhône en cette année au-dessus de celui de l'Abbaye et de la bourgeoisie, celles-ci s'adressèrent au seigneur gouverneur d'Aigle et en obtinrent un mandat avec ordre d'enlever ledit vannel et de payer les frais et dommages encourus, auxquels frais et enlèvement lesdits de Lavey se soumirent par leur réponse et même par une convention publique, promettant pour eux et les leurs de n'en plus faire à l'avenir.
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Mandat de l'abbé Charletti [Louis Nicolas Charléty] pour défendre aux particuliers de Lavey Pierre Chesaux et Pierre Landri, de prendre des poissons rière Lavey avec tridents, au préjudice du vannel.
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Y ayant eu en cette année une assemblée des seigneurs députés des deux Etats de Valais et de Berne tenue à Aigle, M. Blatter, secrétaire d'Etat, l'un des députés du Valais, demanda à l'abbé Claret [Jean Joseph Claret] plusieurs explications au sujet des nansoirs et vannels sur le Rhône à Saint-Maurice et même à Noville, savoir quel différence il y a entre nansoir et vannel, si l'Etat de Valais n'a pas un vannel à Saint-Maurice comme l'Etat de Berne le prétend à Noville, si l'Etat de Valais est en possession de la jurisdiction sur le vannel de Saint-Maurice tant d'un côté que de l'autre du Rhône, comme le prétend l'Etat de Berne sur celui de Noville. On peut voir, en cas de besoin, ces éclaircissements dans les lettres de part et d'autre cotées ici N° 9. Ce que l'on peut remarquer ici est que le droit de vannel a été reconnu à Saint-Maurice en faveur de l'Abbaye et de la bourgeoisie dans cette conférence, comme on le verra ailleurs, que MM. les bourgeois ont des titres en mains concernant ces droits du vannel et qu'enfin, ce même droit de vannel conste en particulier depuis des siècles par les comptes de nos procureurs.

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