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Fonds

Sous fonds

Série

Sous série

Dossier

CH AASM

- CHA

- 75

- 1

+ 0 Etiquette : Titres concernant les curés de Vollèges et surtout leurs provisions

+ 1 Jacques de Margentzello (Margencel), curé de Vollèges, reconnaît devoir au sacristain de l'abbaye de Saint-Maurice une redevance annuelle de 20 sous pour le personat de ladite église (1417). / Pierre de Billens, curé de Vollèges, reconnaît devoir au sacristain de l'abbaye de Saint-Maurice une redevance annuelle de 20 sous pour le personat de ladite église (1469).

+ 2 La cure de Vollèges étant vacante par le décès de Pierre Anselli, l'abbé élu de Saint-Maurice, Barthélemy Sostion, présente à Philippe de Platea, évêque élu de Sion, pour ladite cure Angelin Mullaterii, chanoine profès de son abbaye, et prie l'évêque de l'instituer.

+ 3 Philippe de Platea, évêque de Sion, accepte la présentation de l'abbé de Saint-Maurice pour la cure de Vollèges et donne l'institution au chanoine Angelin Mullaterii.

+ 4 Angelin Mullaterii est mis en possession de l'église de Vollèges et de ses droits par le notaire François de Loës, curial de l'endroit, mais dans un lieu un peu éloigné de l'église et de la cure et sans beaucoup de cérémonies, vu qu'une espèce de peste régnait alors, et que lesdites église et cure en étaient alors suspectes.

+ 5 Dès le lendemain de sa mise en possession, le nouveau curé de Vollèges, Angelin Mullaterii, admodie pour l'espace de deux ans au notaire Pierre Antoine Trollieti tous les fruits, rentes, censes, obventions, oblations, décimes, prémices, émolumens de la cure de Vollèges, et cela pour 65 florins par année.

+ 6 Angelin Mullaterii, curé de Vollèges, reconnaît (à l'exemple de ses prédécesseurs) devoir à Amédée de Collombey, chanoine et sacristain de l'abbaye, une redevance annuelle de 20 sous pour le personat de l'église de Vollèges.

+ 7 Maurice Buttini venant de résigner la cure de Vollèges, l'abbé de Saint-Maurice, Jean Miles, confère cette cure avec tous ses droits à Antoine Finassi [Fenassey], de l'ordre de Saint-Pierre, et prie l'évêque de Sion de l'instituer.

+ 8 Le curé de Vollèges étant mort, l'abbé de Saint-Maurice, Adrien de Riedmatten, présente à son oncle Hildebrand de Riedmatten, évêque de Sion, un jeune clerc étudiant comme successeur. Il pourrait s'agir d'Antoine, fils de Martin Bérard de Vollèges, qui fut curé de Vollèges de 1600 à 1611.

+ 009~01 La cure de Vollèges étant vacante par le décès de Jean-Baptiste Terrettaz, l'abbé de Saint-Maurice, Georges Quartéry, confère ladite cure, selon le désir des députés de la paroisse, à Hugues Voysard, du diocèse de Besançon, lui faisant prêter serment de bien servir ladite église et d'y vivre sans scandale, sous peine de privation de ce bénéfice.

+ 009~02 La cure de Vollèges étant vacante par le décès de Jean-Baptiste Terrettaz, l'abbé de Saint-Maurice, Georges Quartéry, confère ladite cure, selon le désir des députés de la paroisse, à Hugues Voysard, du diocèse de Besançon, lui faisant prêter serment de bien servir ladite église et d'y vivre sans scandale, sous peine de privation de ce bénéfice.

+ 010~01 L'ancien curé de Vollèges (Jean Guinet, chanoine régulier de la congrégation de Notre-Sauveur de Lorraine), écrit à l'abbé de Saint-Maurice qu'il rencontre des difficultés à se faire payer des messes fondées, en particulier par des représentants de la confrérie du Saint-Esprit à Vollèges.

+ 010~02 Jean Guinet, chanoine régulier de la congrégation de Notre-Sauveur de Lorraine et curé de Vollèges, résigne cette cure et dans les mains de l'abbé de Saint-Maurice et propose Nicolas Cornut comme successeur.

+ 010~03 Jean Guinet, chanoine de la congrégation de Notre-Sauveur de Lorraine, vicaire à Bagnes et ancien curé de Vollèges, remercie l'abbé de Saint-Maurice et les paroissiens de Vollèges pour tous les bienfaits avant de partir pour Aoste. Remerciement du sautier de Vollège pour son nouvel habit.

+ 011~01 La cure de Vollèges étant vacante par le décès de Pierre Vaudan survenu le 3 mars 1684, l'abbé de Saint-Maurice, Joseph-Tobie Franc, se fondant sur les bulles des papes, sur les accords faits avec les évêques de Sion et sur une sentence obtenue l'année précédente touchant la cure de Saint-Sigismond, nomme le chanoine Claude Longeat et prie l'évêque de Sion, Adrien V de Riedmatten, de l'instituer.

+ 011~02 L'internonce Octave Cherofino di Cherofini ordonne à l'évêque de Sion de reçevoir le candidat de l'abbaye pour la cure de Vollèges et de ne pas léser les droits de l'abbaye de Saint-Maurice.

+ 011~03 Cahier contenant trois documents: la nomination du chanoine Claude Longeat à la cure de Vollèges, le refus de l'évêque de Sion et la réponse de l'abbé de Saint-Maurice. L'évêque ne veut pas reconnaître la cure de Vollèges comme bénéfice régulier et présente des mauvaises et fausses raisons et des injurieuses même au dit Longeat et à ses confrères.

+ 011~04 Le chapitre de l'abbaye de Saint-Maurice n'acceptant pas la nomination d'un prêtre séculier à la cure de Vollèges en vertu d'un compromis avec l'évêque de Sion, l'abbé Joseph Tobie Franc envoie les chanoines Nicolas Bérody et François Pittet à la nonciature de Lucerne pour traiter de ce sujet.

+ 012~01 Visite pastorale de la paroisse de Vollèges faite par l'évêque Adrien V de Riedmatten. Il y est dit en particulier que cette église est dépendante de la collation de l'abbé ou de l'abbaye de Saint-Maurice.

+ 012~02 Visite pastorale de la paroisse de Vollèges faite par l'évêque Adrien V de Riedmatten. Il y est dit en particulier que cette église est dépendante de la collation de l'abbé ou de l'abbaye de Saint-Maurice.

+ 013~01 Pierre-François Odet, abbé de Saint-Maurice, donne son accord à l'affranchissement d'un cens d'un seytier de vin de Bovernier dû à la cure de Vollèges, moyennant le prix de 125 florins.

+ 013~02 Adrien V de Riedmatten, évêque de Sion, donne son accord à l'affranchissement d'un cens d'un seytier de vin de Bovernier dû à la cure de Vollèges, moyennant le prix de 125 florins.

+ 14 La cure de Vollèges étant vacante suite au décès de Claude Cattelani et à la renonciation de François Forney qui en avait été dernièrement nommé, l'abbé de Saint-Maurice, Pierre-François Odet, confère ladite cure à Bernard Pittet, prêtre du diocèse de Lausanne, et prie l'évêque de Sion de l'instituer.

+ 015~01 Adrien V de Riedmatten, évêque de Sion, donne à Jean Hilaire Tavel, prêtre du diocèse de Genève, l'institution pour la cure de Vollèges, vacante par la résignation de Bernard Pittet, et cela suite à la nomination dudit Tavel par l'abbé de Saint-Maurice, à qui le droit de collation appartient (copie légale).

+ 015~02 Adrien V de Riedmatten, évêque de Sion, donne à Jean Hilaire Tavel, prêtre du diocèse de Genève, l'institution pour la cure de Vollèges, vacante par la résignation de Bernard Pittet, et cela suite à la nomination dudit Tavel par l'abbé de Saint-Maurice, à qui le droit de collation appartient (copie légale).

+ 016~01 Adrien V de Riedmatten, évêque de Sion, donne à Jacques Peyron, chanoine de Saint-Maurice, l'institution pour la cure de Vollèges, vacante par la résignation de Hilaire Tavel, et cela suite à la nomination dudit Jacques Peyron par l'abbé et le chapitre de Saint-Maurice, à qui le droit de collation appartient.

+ 016~02 Copie légale de la mise en possession du nouveau curé de Vollèges, Jacques Peyron, exécutée par Jacques de Preux, chanoine de Sion.

+ 17 La cure de Vollèges étant vacante par le décès de Jacques Peyron, l'abbé de Saint-Maurice, Louis Nicolas Charléty, députe Noël Simon, chanoine de l'abbaye, " per impositionem birreti nostri " pour exercer le bénéfice de Vollèges, et cela avec la clause expresse de l'amovibilité, et il prie l'évêque de Sion de l'instituer.

+ 018~01 Suite au transfert de Noël Simon de la cure de Vollèges à celle de Troistorrents, l'abbé de Saint-Maurice, Louis-Nicolas Charléty, députe en sa place Gaspard Antoine Pinguin, chanoine de l'Abbaye, et il prie l'évêque de Sion de l'instituer.

+ 018~02 La cure de Vollèges étant vacante, l'abbé de Saint-Maurice, Louis-Nicolas Charléty, confère la dite cure à Gaspard Antoine Pinguin, chanoine de l'Abbaye, et il prie l'évêque de Sion de l'instituer.

+ 018~03 Serment que Gaspard Antoine Pinguin prête en 1728 à l'abbé Louis Nicolas Charléty pour la cure de Vétroz, et que l'abbé Jean Joseph Claret a fait signer à M. François Joseph Étienne Willa (Villa) en 1755.

+ 19 François Joseph Supersaxo, évêque de Sion, donne l'institution au nouveau curé de Vollèges, Gaspard Antoine Pinguin, mais il ne fait aucune mention de l'acte de nomination de la part de l'abbé de Saint-Maurice.

+ 20 La cure de Vollèges étant vacante par la résignation de Gaspard Antoine Pinguin à cause de ses infirmités, l'abbé de Saint-Maurice, Louis Nicolas Charléty, avec le consentement de son chapitre, la confère à Jean-Pierre Laffrey, chanoine du Grand-Saint-Bernard, et il prie l'évêque de Sion de l'instituer.

+ 21 François Joseph Supersaxo, évêque de Sion, donne à Jean-Pierre Laffrey, chanoine du Grand-Saint-Bernard, l'institution pour la cure de Vollèges, vacante par la résignation de Gaspard Antoine Pinguin, suite à sa nomination par l'abbé et le chapitre de Saint-Maurice, à qui le droit de collation appartient.

+ 22 Suite au transfert de Jean-Pierre Laffrey à la cure d'Orsières, l'abbé de Saint-Maurice, Jean Joseph Claret, confère la cure de Vollèges à François Antoine Revil, chanoine de l'abbaye, après lui avoir fait prêter serment de payer le personat, et il prie l'évêque de Sion de l'instituer.

+ 23 Jean Joseph Arnold Blatter, évêque de Sion, donne à François Antoine Revil, chanoine de l'abbaye et professeur de théologie, l'institution pour la cure de Vollèges, vacante par la résignation de Jean-Pierre Laffrey.

+ 024~01 Le curé François Antoine Revil a obtenu une réduction très notable des messes de fondation de la paroisse de Vollèges, conjointement avec les curés de Liddes et d'Orsières pour les leurs. Ces réductions ont été obtenues du nonce Philippe Acciajuoli, comme ayant été spécialement commis par le pape Benoît XIV à cet effet ou par la sainte Congrégation (Congrégation du Concile). / Le 25 octobre 1747, l'évêque de Sion donne son accord.

+ 024~02 Supplique de François Antoine Revil, curé de Vollèges, de François Hubert Pinguin, curé de Liddes, et de Jean Pierre Laffray, curé d'Orsières, pour diminuer le nombre des messes de fondation dans leurs paroisses. La supplique est accepté à Rome et transmise le 2 juillet 1746 au nonce à Lucerne en vue de son exécution

+ 25 La cure de Vollèges étant vacante par le transfert de François Antoine Revil à la cure de Bagnes, l'abbé de Saint-Maurice, Jean Joseph Claret, confère ladite cure à François Joseph Étienne Willa, chanoine de l'Abbaye et vicaire de Bagnes, et il prie l'évêque de Sion de l'instituer.

+ 026~01 François Joseph Supersaxo, évêque de Sion, annonce sa visite pastorale et exhorte les résponsables des paroisses et les fidèles à se préparer pour la visite.

+ 026~02 Lettre de François Joseph Supersaxo, évêque de Sion, à Jacques Peyron, curé de Vollèges, concernant une messe fondée à payer par la confrérie du Saint-Sébastien de Vollèges et un repas au Levron qui est lié à cette messe.

+ 026~03 Gaspard Antoine Pinguin, prêtre et novice à l'Abbaye, fonde trois messes annuelles avec "Libera me" dans l'église de Vollèges et il donne à ce but la somme de 10 doublons ou 30 ducatons (copie de l'acte de fondation).

+ 026~04 Convention de la paroisse de Vollèges avec le maître Antoine Gaspar, " de la paroisse de dans le Val de Sezia " (Valsesia), pour la réconstruction de l'église du lieu avec deux plans de l'édifice

+ 026~05 Convention entre Jean-Pierre Laffrey et François Antoine Revil (ancien et nouveau curé de Vollèges), au sujet des rentes courantes de la cure, des denrées, etc.

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