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Georges Quartery , abbé de Saint-Maurice, reconnait avoir reçu de Jérôme de Lisola, trésorier de Philippe IV, 18 charges de sel perçues sur la saunerie de Salins, ainsi que la somme de 10 livres.
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Georges Quartery , abbé de Saint-Maurice, reconnait avoir reçu de Jean de Ville, receveur des seigneurs rentiers de la chauderette de Salins la somme de 4 livres.
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Louis Boucleret, chanoine de Saint-Maurice à Salins, écrit à la communauté de Saint-Maurice pour lui annoncer que Monsieur de Goux, trésorier général de Bourgogne, surintendant et administrateur des sauneries de Salins, a confirmé les droits de l'abbaye de Saint-Maurice à Salins, nonobstant les malheurs de la guerre.
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Louis Boucleret, chanoine de Saint-Maurice à Salins, écrit à l'abbé de Saint-Maurice, Pierre Maurice Odet, pour le conseiller d'insister auprès de Monsieur de Goux, trésorier général de Bourgogne, pour le paiement immédiat et intégral des droits à percevoir sur la saunerie de Salins. Il se charge de recevoir l'argent et de le lui envoyer, il agira de même à l'égard de l'abbesse de Château-Châlons.
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Louis Boucleret, chanoine de Saint-Maurice à Salins, écrit à l'abbé de Saint-Maurice, Pierre Maurice Odet, pour lui apprendre qu'il y aura du retard dans la levée des charges de sel dues à l'abbaye, étant donné que le procureur général de Bourgogne, chargé de la surintendance des affaires des sauneries, ayant été député à la Diète de Ratisbonne, est absent, et que les chevaux et l'argent manquent pour le transport. Il l'assure néanmoins qu'il s'adressera à monsieur de Goux, trésorier et administrateur général des sauneries pour accélérer la levée du sel.
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Pierre Maurice Odet, abbé de Saint-Maurice, désigne Louis Boucleret, chanoine de Saint-Maurice à Salins, comme son procureur pour qu'il obtienne de Philippe IV le paiement des redevances dues à l'abbaye sur la saunerie de Salins, à savoir trois fois 10 livres stéphanoises, trois fois 4 livres et trois fois 18 charges de sel, redevances qui n'ont pas été versées pour les 3 années 1638, 1639 et 1640.
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Guillaume, comte de Viennois et de Mâconnais, donne à l'abbaye de Saint-Maurice pour le salut de son frère Gaucher et de ses parents 2 bouillons (bulliones) de sel à prendre entre le 1er avril et la Saint-Michel sur les chaudières de son dit frère, à Salins.
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Jean, comte de Bourgogne et sire de Salins, donne à l'abbaye de Saint-Maurice et aux chanoines pour le salut de son âme 15 charges de gros sel qui se fait dans son puits du bourg de Salins, à percevoir annuellement après la purification de la Vierge, et les exempte de péage pour les 15 charges. L'abbé et les chanoines promettent de célébrer un anniversaire solennel chaque année pour le salut de son âme et de l'associer aux bienfaits spirituels de l'église.
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Jean, comte de Bourgogne et sire de Salins, donne à l'abbaye de Saint-Maurice une rente de 10 livres stéphanoises sur les revenus de son puits de Salins, percevable dans la quinzaine de la Nativité de saint Jean-Baptiste, en échange des revenus perçus par l'abbaye sur les fiefs tenus par Thiébaud de Belvoir et sur le puits de Salins, exception faite des 4 livres données par Enguerrand, chevalier de Salins, et les 20 charges de gros sel sur la saunerie du bourg.
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Jean, comte de Bourgogne et sire de Salins, prête hommage à Girold, abbé de Saint-Maurice, et reconnaît tenir en fief Bracon, la vallée de Mièges, la Chaux d'Arlier, Aresches, Chamblay, Usier, le château de Saint-Maurice de Cicon, les censiers de Pontarlier et la vallée de Vennes.
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Philippe, comte de Savoie et de Bourgogne, atteste qu'Otton de Bourgogne a prêté hommage à Girold, abbé de Saint-Maurice, comme l'avait fait Jean, comte de Châlons et de Bourgogne et sire de Salins.
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Othon IV de Bourgogne, sire de Salins, prête hommage à Pierre de Saint-Sigismond, abbé de Saint-Maurice, pour tout ce que Jean, comte de Bourgogne et sire de Salins, tenait en fief de l'abbaye.
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Othon, sire de Salins, reconnaît tenir en fief de l'abbaye de Saint-Maurice les mêmes biens qu'avait reconnus Jean, comte de Bourgogne et sire de Salins, en 1260.
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Mahaut, comtesse d'Artois et de Bourgogne et dame de Salins, félicite le nouvel abbé, Barthélémy de Bartholomeis, de son élévation, et regrette de ne pas avoir pu aller aux funérailles du défunt abbé Jacques d'Ayent ; elle s'excuse de ne pouvoir immédiatement lui prêter hommage pour le fief de Bracon, mais s'engage, elle et sa fille Jeanne, reine de France et héritière de son père Otton comte de Bourgogne, à le faire sous peu.
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Jeanne de Bourbon, princesse d'Orange, en l'absence de son mari le prince d'Orange, gouverneur de Bourgogne, écrit à l'abbé de Saint-Maurice, Jean Garreti, pour lui apprendre la mort de Martin Roland, religieux de Saint-Maurice, mansionnaire à l'hôpital de Bracon, et lui demander de recevoir son successeur qu'elle lui envoie, Jean Oudecte, élu par les officiers de Bracon.
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Hugo de Charnel, abbé de Notre-Dame de Goailles, écrit à l'abbé de Saint-Maurice, Jean Garreti, pour protester de l'intégrité et de l'innocence du chapelain de l'hôpital de Bracon, Jean de Tromereys, suite à une lettre d'accusation de la part du duc de Bourgogne.
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Les gens des comptes du duc de Bourgogne, après avoir examiné les titres de privilège de l'abbaye de Saint-Maurice sur la saunerie de Salins les autorisant à percevoir une rente annuelle de 10 livres, et les ayant trouvés valides, ordonnent aux trésoriers de la saunerie de Salins d'assurer la libre perception de cette rente.
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Jean Rauler, chevalier, chambellan, conseiller du duc de Bourgogne, et capitaine de son château de Bracon, écrit à l'abbé de Saint-Maurice, Jean Garreti, pour lui demander de recevoir quelque temps son cousin, Philibert Turion, autrefois chanoine de Notre-Dame de Goailles, en attendant de le pourvoir à la chapellenie de l'hôpital de Bracon, le chapelain actuel étant indigne.
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Jean Garreti, abbé de Saint-Maurice, écrit au duc de Bourgogne, en s'appuyant sur les pièces les plus anciennes du monastère, pour le supplier de maintenir l'intégrité des privilèges de l'abbaye sur le fief de Bracon.
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Après diverses difficultés du monastère de Saint-Maurice du vivant de Charles le Téméraire, pour obtenir le paiement de leurs redevances pour les 3 années 1474, 1475, et 1476, et après examen des titres de privilège du monastère de Saint-Maurice sur la saunerie de Salins, Jean de Châlons, prince d'Orange, lieutenant de Marie de Bourgogne, fille et unique héritière de Charles le Téméraire et gouverneur de Bourgogne, lève toute mainmise sur la levée des 20 charges de sel et des 10 livres de rente annuelles, et en autorise la perception comme le monastère en avait le droit auparavant.
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Mahaut, comtesse de Bourgogne et d'Artois, écrit à Barthélémy de Bartolomeis, abbé de Saint-Maurice, pour lui dire son intention de vouloir lui prêter hommage, mais comme les chemins sont trop mauvais et qu'elle est retenue à Bracon par plusieurs affaires, elle le prie de venir à Bracon ou à Pontarlier, selon sa préférence, pour qu'elle puisse lui prêter hommage.
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Otton IV, comte de Bourgogne et sire de Salins, reçoit de Girard de Goumoens, abbé de Saint-Maurice, le fief de Bracon et reconnaît tenir de lui le fief de Bracon, le Val de Mièges, la Chaux d'Arlier, Aresches, Chamblay, Usier, le château Saint-Maurice de Cicon, les censiers de Pontarlier et la vallée de Vennes.
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Jean, comte de Bourgogne et seigneur de Salins, donne à l'abbaye de Saint-Maurice une rente annuelle de 10 livres stéphanoises sur les revenus de son puits de Salins, en échange des revenus perçus par l'abbaye sur les fiefs tenus par Theobauldus, seigneur de Belvoir, et sur le puits de Salins, exception faite des 4 livres données par Henguerrandus, autrefois seigneur de Salins, et les 20 charges de gros sel sur la saunerie du bourg. Vidimus de Barthélémy de Bartolomeis, abbé de Saint-Maurice, par l'intermédiaire de Nantermetus Champy, clerc de Saint-Maurice (13.07.1315).
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Après litige avec l'abbé du monastère de Saint-Maurice, Nantelme, Engerrandus, chevalier de Salins, s'engage à lui verser chaque année à la Saint-André, une rente de 4 livres stéphanoises moins 2 sous. Vidimus de Humbertus de Salaz, juge en pays de Chablais, au nom du comte de Savoie Amédée V (17.02.1301).
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Mahaut, comtesse d'Artois et de Bourgogne écrit à l'abbé de Saint-Maurice, Barthélémy de Bartolomeis, pour lui dire qu'elle a appris sa venue dans 2 ou 3 jours à Bracon, et qu'elle prendra les dispositions nécessaires pour le recevoir, précisant que sa fille Jeanne, la reine de France, sera aussi là pour le recevoir.
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Mahaut, comtesse d'Artois et de Bourgogne, écrit à l'abbé de Saint-Maurice, Barthélémy de Bartolomeis, pour lui demander de déplacer Jean de Cromany, chanoine de Saint-Maurice demeurant à l'hôpital de Bracon, parce qu'il y mène une mauvaise vie.
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Après litige avec l'abbé du monastère de Saint-Maurice, Nantelme, Engerrandus, chevalier de Salins, s'engage à lui verser chaque année à la Saint-André, une rente de 4 livres stéphanoises moins 2 sous. Vidimus de Raymondus, fait à la demande de l'abbé de Saint-Maurice (04.03.1322).
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Mahaut, comtesse d'Artois et de Bourgogne et sa fille Jeanne, reine de France et de Navarre, désirant recevoir le fief de Bracon et pour cela, prêter hommage à l'abbé de Saint-Maurice, Barthélémy de Bartolomeis, ne pouvant aller à Saint-Maurice, ont prêté hommage au chateau de Bracon pour le fief de Bracon, le Val de Mièges, la Chaux d'Arlier, Aresches, Chamblay, Usier, le château Saint-Maurice de Cicon, les censiers de Pontarlier et la vallée de Vennes.
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Otton IV, comte de Bourgogne, désirant recevoir le fief de Bracon et pour cela, prêter hommage à l'abbé de Saint-Maurice, Jacques d'Ayent, ne pouvant aller à Saint-Maurice, a prêté hommage dans son château des Clées, où l'abbé de Saint-Maurice a accepté de se rendre, pour le fief de Bracon, le Val de Mièges, la Chaux d'Arlier, Aresches, Chamblay, Usier, le château Saint-Maurice de Cicon, les censiers de Pontarlier et la vallée de Vennes.
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Le duc de Bourgogne ayant levé les difficultés qui régnaient pour la perception des bénéfices en Bourgogne, Michel Bernardi d'Allinges, abbé de Saint-Maurice, témoigne sa volonté de rentrer dans la totale perception de ses privilèges en Bourgogne.
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Jacques d'Ayent, abbé de Saint-Maurice, ayant appris que Jean de Chalons, seigneur d' Arlay, agissant pour Otton IV, comte de Bourgogne et sire de Salins, son vassal pour le fief de Bracon, le Val de Mièges, la Chaux d'Arlier, Aresches, Chamblay, Usier, le château de Saint-Maurice de Cicon, les censiers de Pontarlier et la vallée de Vennes, a aliéné ces terres au roi de France Philippe IV sans son accord, s'oppose à cette aliénation, afin qu'aucun de ses vassaux ne prêtent hommage au roi de France.
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Il s'agit d'un compte des recettes de Saint-Maurice, sans date , ni lieu, ni personnages, assorti d'une table de conversion entre les différentes mesures de sel.
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Jean Jodoc Quartéry, abbé de Saint-Maurice, désigne les sieurs Claude Palleaux père et fils, bourgeois de Pontarlier, comme ses procureurs, pour exiger les 20 charges de sel perçues annuellement à Salins, ainsi que ainsi que les 10 livres stéphanoises de rente annuelle, sans oublier les 4 livres stéphanoises de rente annuelle.
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Compte des recettes de Saint-Maurice perçues sur les salines de Salins, avec itinéraire de Salins jusqu'à Villeneuve
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Jean Jodoc Quartéry, abbé de Saint-Maurice, désigne les sieurs Philibert Quartier, et Jacques, son fils, bourgeois de Jougne, comme ses procureurs, pour exiger les 20 charges de sel perçues annuellement à Salins, ainsi que les 10 livres stéphanoises de rente annuelle, sans oublier aussi les 4 livres stéphanoises de rente annuelle. Suivent ensuite des notes très brèves indiquant les procurations données pour les années 1661, 1662, 1663, 1664, 1665, 1666, 1667, 1668 et 1669.
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Notes concernant les recettes du roi d'Espagne sur les salines à Salins.
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P. Gresle, chanoine régulier et procureur général de l'abbaye de Saint-Maurice, écrit à Philibert Quartier, bourgeois de Jougne, pour le remercier de s'être occupé jusqu'à présent de la perception des droits de sel de l'abbaye et pour lui demander de continuer cette charge pour l'année présente 1666.
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Le roi Rodolphe, à la prière de la reine Hermengunde sa femme, de Bertold et de Rodulf comtes, et Robert, et d'Hugues, évêque de Sion, de Henri de Lausanne, de Hugues de Genève, de Burchard de Lion, d'Anselme d'Aoste et de Randulf avec les autres frères, donne ou rend à l'abbaye de Saint-Maurice les choses suivantes déjà données par ses prédécesseurs ; savoir le Sex, Lully, Commugny, Pully, Oron, Vuadens, Bouloz, Lutry, Vouvry, Ollon, Villy, Naters.
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Landry, évêque de Lausanne, donne à Borcard, abbé de Saint-Maurice, l'église de Saint-Aubin.
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Guillaume, comte de Ponthieu et de Montreuil, donne aux chanoines de Saint-Maurice pour le salut de son âme et celle de ses parents, épouse et fille, une rente de 13 livres parisis assise sur sa halle d'Abbeville pour acheter 20 aunes d'écarlate pour faire les camails que les chanoines ont coutume de porter en l'honneur du martyre de saint Maurice. Il donne de plus 8 sous de cens annuel assis sur 4 étals de la boucherie d'Abbeville tenus par Firminus, bourgeois de Sénarpont.
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Privilège d'Honorius III, adressé à l'abbé et au couvent de Saint-Maurice, par lequel il confirme la donation faite par Guillaume, comte de Ponthieu.
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Barthélémy de Bartolomeis, abbé de Saint-Maurice, reconnaît avoir reçu des mains du frère Jordanus de Sancto Symphoriano, chanoine de Saint-Maurice, 13 livres et 8 sous parisis, rente due chaque année par la ville d'Abbeville suite à la donation faite en 1210 par Guillaume, comte de Ponthieu et de Montreuil.
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Guillaume, comte de Ponthieu et de Montreuil, donne aux chanoines de Saint-Maurice pour le salut de son âme et celle de ses parents, épouse et fille une rente de 13 livres parisis assise sur sa halle d'Abbeville pour acheter 20 aunes d'écarlate pour faire les camails que les chanoines ont coutume de porter en l'honneur du martyre de saint Maurice. Il donne de plus 8 sous de cens annuel assis sur 4 étals de la boucherie d'Abbeville tenus par Firmin de Senarpont. Vidimus de Bruneau de Saint Cler, chevalier maître d'hôtel du Roi et garde de la prévôté de Paris fait le 12.11.1410.
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Guillaume Bernardi, abbé de Saint-Maurice, supplie Louis XI, Roi de France, d'assurer à nouveau le paiement de la rente de 13 livres parisis perçue par l'abbaye sur la ville d'Abbeville, et dont le paiement avait été interrompu suite à la destruction du monastère lors de la dernière guerre.
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Guillaume, comte de Ponthieu et de Montreuil, donne aux chanoines de Saint-Maurice pour le salut de son âme et celle de ses parents, épouse et fille une rente de 13 livres parisis assise sur sa halle d'Abbeville pour acheter 20 aunes d'écarlate pour faire les camails que les chanoines ont coutume de porter en l'honneur du martyre de saint Maurice. Il donne de plus 8 sous de cens annuel assis sur 4 étals de la boucherie d'Abbeville tenus par Firmin de Senarpont. Vidimus de André, archevêque de Cologne, administrateur de l'église de Sion fait le 01.04.1427.
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Jean Sostion, abbé de Saint-Maurice, a désigné Hugo Noyre, chanoine de Saint-Maurice et prieur du prieuré de Saint-Jean de Sinemure, pour exiger au nom du monastère les 13 livres et 8 sous parisis de rente annuelle dus par la ville d'Abbeville.
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Dans les transactions menées à l'abbaye pour se défaire de la cure de Saint-Aubin suite à l'apparition de la Réforme dans le canton de Neuchâtel, le sieur Simon de Neuchâtel écrit à l'abbé de Saint-Maurice pour le remercier de son choix pour la cure de Saint-Aubin, et pour lui conseiller d'envoyer un vicaire tous les ans pour inspecter les prieurés de Senlis et de Sémur, qui sont sous sa juridiction.
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Instructions diverses données par Jean Miles, abbé de Saint-Maurice, à Jean Zumthuren alias Kalbermatter, et à Antoine Triebman, envoyés en France pour recevoir paiement des 13 sols de rente annuelle à Abbeville, non acquittée depuis 36 ans. En cas de résistance, il leur est conseillé de se mettre sous la protection du roi de France, Henri II.
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Jean Miles, abbé de Saint-Maurice, en présence de témoins et avec l'accord des chanoines de l'abbaye, désigne Jean Zumthurtin, alias Kalbermatter, capitaine du roi de France, et Antoine Trieman, notaire public, comme ses procureurs pour assurer le paiement de toutes les redevances dues à l'abbaye, et pour cela, leur donne pleins pouvoirs.
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Barthélémy de Bartolomeis, abbé de Saint-Maurice, reconnait avoir reçu des mains de Guillaume Bonetae, chanoine recteur de l'hôpital de Bracon, de Jacques de Duaco, dit Le Franc, clerc et d'Henri de Polliniaco, laïc, ses procureurs, 13 livres 8 sous parisis de rente annuelle due par la ville d'Abbeville pour l'année 1339 et pour l'année 1340.
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