Fondation des Archives historiques de l'Abbaye de Saint-Maurice image de texte ancien
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Les informations ci-dessous représentent la structure des différents fonds d'archives, conformément à la terminologie précisée par la norme internationale ISAD(G) : un fonds peut être divisé en sous-fonds, série, sous-série, dossier et pièce. Si vous voulez des explications détaillées sur la façon de se déplacer dans cette hiérarchie, cliquez ici

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Le comte Amédée VIII de Savoie fonde à Ripaille un prieuré pour quinze chanoines de Saint-Maurice et lui constitue une rente annuelle de mille florins d'or de Savoye. Des dispositions sont prises pour régler la désignation du prieur, du sacristain et des chanoines. La règle suivie dans le prieuré sera celle des chanoines de Saint-Maurice. Le prieuré sera soustrait à la juridiction de l'évêque de Genève et soumis à l'autorité du Saint-Siège. L'abbé de Saint-Maurice aura droit de visite et pourra corriger les chanoines selon la règle de saint Augustin en cas de mauvaise conduite ; mais le prieuré ne sera jamais incorporé à aucune autre maison, église ou personne, y compris l'abbaye de Saint-Maurice.
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Le pape Martin V reçoit sous la protection du Saint-Siège le prieuré de Ripaille et l'exempte de la juridiction de l'archevêque de Vienne et de l'évêque de Genève. Le prieuré est aussi exempt de la juridiction ordinaire de l'abbé de Saint-Maurice, mais en cas de mauvaise conduite, celui-ci pourra rappeler les chanoines de Ripaille aux devoirs de la règle en usage à Saint-Maurice et les corriger selon la règle de saint Augustin.
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Le chapitre de Saint-Maurice institue prieur de Ripaille Petrus Mutoris, sacristain, élu par les chanoines de ce prieuré pour remplacer Joannes Borgesii, leur premier prieur, décédé, et présenté par le duc de Savoie, conformément à l'acte de fondation.
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Le prieuré de Ripaille étant vacant de par la nomination de Petrus Monthoni à la prévôté de Saint-Gilles, le duc Louis Ier présente à l'abbé et chanoines de Saint-Maurice Joannes Barre, élu prieur par les chanoines de Ripaille.
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Le comte Amédée VI de Savoie prête serment, comme son père avant lui, pour les fiefs qu'il tient de l'abbaye de Saint-Maurice.
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Afin de mettre fin à un différend concernant Bagnes, Lourtier et Sembrancher, le comte Humbert III de Savoie jure entre les mains de l'archevêque Pierre de Tarentaise, de prêter hommage à l'abbé de Saint-Maurice pour des biens qu'il reconnaît tenir de l'abbaye, et de ne pas lui nuire, tant lui-même que ses barons. En cas de parjure, l'archevêque excommuniera le coupable. Le comte prête hommage à l'abbé Borcardus pour les châteaux de Chaumont et de La Roche, et la moitié de Hauteville.
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Afin de restaurer la vie religieuse de Saint-Maurice, le comte Amédée III de Savoie, à la demande de son frère Raynaldus, prévôt de cette église, et sur les conseils du l'évêque Hugues de Grenoble, décrète qu'elle sera désormais desservie par des chanoines réguliers et non plus séculiers, et que ses biens aliénés lui seront restitués.
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Par cet acte passé entre la reine de Chypre, Charlotte, d'une part, et les duc et duchesse Louis Ier et Anne de Savoie, tante de la reine, d'autre part, la reine Charlotte s'engage à payer au duc de Savoie et à sa femme le reste de la dot de la duchesse, et une récompense pour les dépenses que le duc et la duchesse ont fait et feront encore pour le recouvrement du royaume de Chypre. Les règles de succession au royaume de Jérusalem et de Chypre sont définies pour les cas où la reine mourrait sans héritier.
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Par testament, le comte Amédée VI fonde des établissements religieux et messes pour le repos de son âme ; à Saint-Maurice en particulier, il fonde une messe quotidienne perpétuelle, fait entretenir un luminaire et fait rebâtir intégralement l'église. Il récompense ses compagnons et serviteurs, laisse ses terres, principautés et seigneuries en possession à son fils, Amédée, et en usufruit à sa femme, Bonne de Bourbon, qui tiendra en propre plusieurs châteaux, terres et seigneuries ; son fils et les descendants mâles de celui-ci lui succéderont, et au cas où cette lignée s'éteindrait, le duché ira à la branche de Savoie-Achaïe.
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Bulle de Léon X, confirmant l'union de l'église de Beaufort en Tarentaise à l'abbaye de Saint-Maurice, déjà décrétée par Jules II, qui mourut avant d'avoir pu expédier cet acte. Saint-Maurice jouira de tous les biens et rentes de cette église et son abbé pourra y nommer un de ses religieux ou un prêtre séculier de son choix.
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Le chapitre procède à l'amodiation de la cure de Beaufort, à deux chapelains de ce lieu, pour desservir et entretenir l'église pendant trois ans, et définit les termes de versement des revenus de cette cure.
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L'abbé et le couvent de Saint-Maurice définissent les devoirs de la cure de l'église Saint-Maxime de Beaufort, attribuée au chanoine Joannes Bruet, ainsi que les revenus qui doivent être versés à l'abbaye.
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Les paroissiens de Beaufort ayant protesté, lors de l'amodiation de l'église de Saint-Maxime à Jean Bruet, que la coutume veut qu'ils présentent eux-mêmes le clerc de leur choix, l'abbaye de Saint-Maurice réaffirme ses droits exclusifs de nomination à cette église, qui lui a été unie par une bulle pontificale. Toutefois, il est accordé que les paroissiens pourront élire un vicaire de leur choix, sans diminution des revenus du bénéfice, à charge pour les paroissiens d'entretenir les biens de l'église et de payer le vicaire, qu'ils remplaceront s'il vient à manquer à son devoir.
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L'abbaye de Saint-Maurice demande l'intervention du duc de Savoie pour ne plus avoir à payer le surcroît d'annates dû par l'abbaye au Saint-Siège, à cause de l'église de Beaufort, unie à cette abbaye. De plus, elle réclame la restitution des charges de patronage sur la cure de Massongy et le paiement des sommes qui lui sont dûes pour celle de Nonglard, impayées depuis vingt ans.
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Le duc de Savoie Emmanuel-Philibert transmet à sa chambre des comptes une missive, attachée à la sienne, et requiert l'avis de ses conseillers des comptes.
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L'abbaye donne procuration au chanoine Martin Duplâtre pour exiger et recueillir le reste de la somme dûe à l'abbaye par feu le curé de Saint-Maxime de Beaufort ou ses héritiers ; Martin Duplâtre pourra envoyer un procureur à Beaufort.
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L'archevêque de Tarentaise confirme l'accord passé le 25 août 1556 entre l'abbaye de Saint-Maurice et les paroissiens de Saint-Maxime de Beaufort, par lequel les paroissiens pouvaient nommer un vicaire.
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L'abbaye amodie la cure de Saint-Maxime, paroisse de Beaufort, à Antonius Molliet, chanoine de Sallanches, avec tous ses biens et rentes, à charge pour Antonius Molliet de ne pas déplaire aux paroissiens et à l'archevêque, d'entretenir les biens de l'église et d'en verser la ferme annuelle à l'abbaye. Il devra aussi recevoir tous les trois ans les abbé et chanoines de Saint-Maurice visitant la cure de Saint-Maxime, et récupérer chaque année pour l'abbaye une somme dûe par l'archevêque de Tarentaise pour le prieuré de Saint-Michel.
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Lors d'une visite à Saint-Maxime, paroisse de Beaufort, Joseph Rodulphe Vial, bénédictin, docteur ès droits, official et vicaire général de l'archevêque de Tarentaise, constate et condamne des empiètements et déversements d'immondices sur le pré de l'église par des propriétaires voisins.
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L'archevêque de Tarentaise ayant demandé à l'abbaye de Saint-Maurice de restaurer la maison du curé de Saint-Maxime à Beaufort, de refonder les chemins aboutissant au pré de cette cure et de le dégager de ce qui y a été abusivement installé, les procureurs de l'abbaye ont répondu qu'elle n'y était pas obligée, en vertu de l'accord du 25 août 1556. Mais les syndics des paroissiens ont protesté n'être capables de payer la ferme annuelle et de supporter en même temps ces charges, et ont requis une diminution de cette ferme, ainsi qu'un curé résidant. A cause de la diminution du nombre des chanoines de Saint-Maurice, intervenue à la suite d'une épidémie, les procureurs ont repoussé cette dernière demande, mais ont accordé une diminution des fermes, dont le versement est assuré par de nouvelles clauses. L'accord doit être ratifié avant un mois, sous peine de devenir caduc.
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A la demande de l'abbé de Saint-Maurice Pierre Odet , Benoît Théophile de Chevron, archevêque de Tarentaise, approuve l'accord passé avec les paroissiens de Saint-Maxime de Beaufort (du 14 juin 1633, copié avant cet acte) et rend perpétuelle la présence d'un vicaire dans cette paroisse.
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Les chanoines de l'abbaye de Saint-Maurice et leur avocat le prévôt Wido donnent à Arluinus, prieur des chanoines réguliers de Notre-Dame d'Abondance, avec l'accord d'Amédée III comte de Savoie et de Wido seigneur de Féternes, avoué de l'église de Notre-Dame d'Abondance, ladite église avec toute sa vallée et les droits et usages qui s'y rapportent, ne réservant qu'un partie des droits de chasse.
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Le roi des Romains Sigismond ayant assisté à la messe dans la chapelle de Saint-Sigismond à l'abbaye de Saint-Maurice, où il passait pour aller en Italie, le duc de Savoie Amédée VIII a demandé à l'abbaye de Saint-Maurice d'offrir au roi des Romains les reliques de saint Sigismond, fondateur de l'abbaye, et de ses fils, et de les faire transporter dans une châsse inviolable jusqu'en Hongrie.
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Pierre, archevêque de Tarentaise, donne à l'abbaye de Saint-Maurice les églises de Saint-Michel, Salins, Montagny et Feissons, tant qu'elle sera sous une règle canoniale et non monacale, se réservant le cens annuel et les processions des principales fêtes.
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Lors d'un procès, l'official de l'archevêché de Tarentaise procède au vidimus d'un acte d'Aimon Gervais, évêque de Maurienne, concernant le transport du prieuré de Saint-Michel hors les murs de Moûtiers, relevant de l'abbaye de Saint-Maurice, à l'archevêque de Maurienne.
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Aimon de Gervais, évêque de Maurienne, fondé d'une lettre du pape Eugène IV, intervient dans un conflit entre l'archevêque de Tarentaise et l'abbaye de Saint-Maurice, né du don précédemment fait par Jean XXIII du prieuré de Saint-Michel de Tarentaise à l'archevêque de Tarentaise sans consulter l'abbaye de Saint-Maurice, dont dépendait jusqu'alors ce prieuré. L'évêque de Maurienne approuve les termes de l'accord auxquelles sont parvenues les parties, selon lequel l'archevêque de Tarentaise aura le prieuré de Saint-Michel mais laissera le cens annuel à Saint-Maurice.
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Le pape ayant fait don du prieuré de Saint-Michel de Tarentaise à l'archevêque de Tarentaise sans consulter l'abbaye de Saint-Maurice, dont dépendait jusqu'alors ce prieuré, les chanoines de Saint-Maurice ont contesté la validité de ce don et sont entrés en conflit avec l'archevêque. Après avoir trouvé un accord, ils ont demandé l'approbation du pape Eugène IV, qui écrit à l'évêque de Maurienne, Aymon de Gervais, pour lui demander de prendre connaissance des instruments juridiques que son prédécesseur Martin V avait ordonné d'établir et laisse à l'approbation et au jugement de l'évêque de Maurienne la validité des articles contenus dans cet accord.
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Depuis l'incorporation du prieuré de Saint-Michel à la manse de l'archevêché de Tarentaise, contestée par l'abbaye de Saint-Maurice, qui estimait que ce prieuré lui appartenait, il y eut plusieurs disputes avant qu'un accord fût trouvé. Par cette transaction, l'abbaye de Saint-Maurice accepte de céder le prieuré avec terres, possessions, dîmes et autres revenus, à l'archevêque de Tarentaise, Jean de Bertrandis, tandis qu'un cens annuel de vingt florins est laissé à l'abbaye, à prendre sur les revenus de Saint-Michel. L'archevêque devra faire desservir l'église de ce prieuré, et s'engage à faire ratifier et confirmer l'accord par le chapitre de l'église de Tarentaise. Il reconnaît en outre que cette translation ne porte que sur Saint-Michel et ne préjuge pas des droits de l'abbaye de Saint-Maurice sur ses autres cures et églises du diocèse de Tarentaise.
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Le chapitre cathédral de Moûtier en Tarentaise ratifie et valide les articles d'un accord intervenu entre l'archevêque de Tarentaise, Jean de Bertrandis, et l'abbé de Saint-Maurice.
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L'abbé de Saint-Maurice, Jean Sostion, constitue le sacristain de l'abbaye, Amadeus de Columberio, son procureur général pour toutes ses affaires et particulier pour percevoir les vingt florins que l'archevêque de Tarentaise doit à Saint-Maurice pour la cure de Saint-Michel.
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Lors d'une visite du diocèse de Sion, l'archevêque de Tarentaise Bertrand de Bertrandis a séjourné à l'abbaye de Saint-Maurice. Il confirme l'inviolabilité de l'exemption de cette abbaye, et s'oppose à toute atteinte éventuelle à ses droits.
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Un acte notarié d'un serment de fidélité du vidame de Bagnes à l'abbé de Saint-Maurice atteste que Thomas de Versatoribus, prieur de Saint-Michel, était chanoine de Saint-Maurice, et que ce prieuré avait été incorporé à l'abbaye de Saint-Maurice.
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Le comte de Savoie Amédée VIII, à la demande de Saint-Maurice, ordonne à ses officiers de Valais et de Chablais de recevoir les plaintes des chanoines de l'abbaye et de leur faire justice, ou à leurs procureurs.
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Le pape Alexandre VI informe le comte Amédée VIII de Savoie de la nomination de Jean Bernardi d'Allinges à la tête de l'abbaye de Saint-Maurice, en lieu et place de Guillaume Bernardi d'Allinges. Le pape prie le comte de garder l'abbaye sous sa protection.
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Le curé de Massongy au diocèse de Genêve et l'abbaye de Saint-Maurice se partagent six pains et six chandeliers offerts à l'église de Massongy, dont chaque partie reçoit la moitié.
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Guichardus, vicaire du curé de Massongy, présente un mandement de son curé, Jacobus de Gugumens, par lequel ledit curé demandent que l'on délivre à l'abbaye de Saint-Maurice la moitié des dons faits à l'église de Massongy.
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L'abbé Jean Garreti fait authentifier et copier un acte d'Amédée VI, comte de Savoie, du 9 mars 1375, concernant la donation de l'hôpital de Villeneuve de Chillon à l'abbaye de Saint-Maurice.
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Le comte Amédée VI de Savoie donne l'hôpital de Villeneuve de Chillon avec dépendances, revenus et droits à l'abbaye de Saint-Maurice, qui devra y accueillir les pauvres et célébrer les messes. Le comte se réserve le droit de patronage. L'administrateur de l'hôpital sera choisi parmi les chanoines de Saint-Maurice.
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Le pape d'Avignon Clément VII confirme le don, par le comte Amédée VI de Savoie, de l'hôpital de Villeneuve de Chillon à l'abbaye de Saint-Maurice, sauf le droit de patronage qui reste au comte.
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Le comte Amédée VI de Savoie donne l'hôpital de Villeneuve de Chillon avec dépendances, revenus et droits à l'abbaye de Saint-Maurice, qui devra y accueillir les pauvres et célébrer les messes. Le comte se réserve le droit de patronage. L'administrateur de l'hôpital sera choisi parmi les chanoines de Saint-Maurice
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Le comte Amédée VII de Savoie ayant été informé que Guillelmus Albi, chanoine de Saint-Maurice, ne s'occupait plus de l'administration de l'hôpital de Villeneuve de Chillon (cédé par les comtes de Savoie à Saint-Maurice sauf leur droit de patronage), il la confie à Ansermus Medici, chanoine de Saint-Maurice, qui devra payer une pension sur les revenus de l'hôpital à frère Joannes Gerbaysii, sa vie durant. Ansermus Medici le promit et s'engagea à bien gérer et administrer l'hôpital.
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Bonne de Bourbon, comtesse de Savoie et tutrice du comte Amédée VIII, propose à Saint-Maurice qu'Ansermus Medici, jugé idoine et compétent, soit nommé recteur et administrateur de l'hôpital de Villeneuve de Chillon, dont il s'occupait déjà du vivant de feu Joannes Gerbaisii, précédent recteur et administrateur de cet hôpital dont Amédée VI, comte de Savoie, avait fait don à l'abbaye de Saint-Maurice en se réservant les droits de patronage.
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Aymon, comte de Chablais, fils de feu Thomas Ier, comte de Savoie, fonde un Hôtel-Dieu à Villeneuve, qu'il donne à l'abbaye de Saint-Maurice, avec diverses redevances et droits d'usage portant sur des moulins, vignes et terres acquis par Aymon dans la haute vallée du Rhône, ainsi que tous ses revenus et possessions sis à Villeneuve et à Grandchamp dépendant de la seigneurie de Chillon. De plus, Aymon procède à une permutation de l'assignation de la fondation de cent sous faite par son père pour l'entretient d'un luminaire à Saint-Maurice, jusqu'alors assignée sur les moulins de Saint-Maurice et dorénavant sur les redevances que lui doivent les habitants d'Ollon et Vouvry. La mère et les frères d'Aymon consentent à cet acte pieux et donnent leur approbation.
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Félix V, désireux que les établissements religieux soient dirigés par des personnes dignes, compétentes et appropriées, décrète que les monastères, prieuré et prévôté de Saint-Maurice, de Hautecombe, de Ripaille et du Grand-Saint-Bernard ne pourront être soumises à l'autorité d'un religieux qui ne soit pas de leur ordre, quelles que soient sa condition et sa dignité, ni en commande, ni autrement.
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Vidimus, par l'official d'Aoste, d'une bulle du pape Clément VI renouvelant des dispositions prises par le pape Jean XXII, selon lesquelles les immunités temporelles et spirituelles de l'hôpital du Grand-Saint-Bernard, avec les personnes de ses religieux, et ses biens meubles et immeubles, sont réitérées et renforcées contre ceux qui portent atteinte à ses privilèges et libertés, dont les abbés et prévôt de Saint-Benoît d'Asote, de Saint-Maurice, de Notre-Dame de Goailles et de Saint-Gilles de Verrès sont désignés conservateurs, à charge de faire restituer à l'hôpital ce qui lui a été aliéné, en faisant comparaître les coupables (avec un éventuel recours au bras séculier), nonobstant des constitutions de Boniface VIII interdisant sauf exceptions que quiconque soit extrait de son diocèse pour être jugé, ou jugé par des juges venus d'un autre diocèse que le sien.
               Chercher à partir d'iciVisualiser la fiche 46
Clément VI rappelle et renouvelle les dispositions prises par le pape Jean XXII, selon lesquelles les immunités temporelles et spirituelles de l'hôpital du Grand-Saint-Bernard, avec les personnes de ses religieux, et ses biens meubles et immeubles, sont réitérées et renforcées contre ceux qui portent atteinte à ses privilèges et libertés, dont les abbés et prévôt de Saint-Benoît d'Aoste, de Saint-Maurice, de Notre-Dame de Goailles et de Saint-Gilles de Verrès sont désignés conservateurs, à charge de faire restituer à l'hôpital ce qui lui a été aliéné, en faisant comparaître les coupables (avec un éventuel recours au bras séculier), nonobstant des constitutions de Boniface VIII interdisant sauf exceptions que quiconque soit extrait de son diocèse pour être jugé, ou jugé par des juges venus d'un autre diocèse que le sien.
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Jean XXII réitère et renforce les immunités temporelles et spirituelles de l'hôpital du Grand-Saint-Bernard, avec les personnes de ses religieux, et ses biens meubles et immeubles, contre ceux qui portent atteinte à ses privilèges et libertés, dont les abbés et prévôt de Saint-Benoît d'Aoste, de Saint-Maurice, de Notre-Dame de Goailles et de Saint-Gilles de Verrès sont désignés conservateurs, à charge de faire restituer à l'hôpital ce qui lui a été aliéné, en faisant comparaître les coupables (avec un éventuel recours au bras séculier), nonobstant des constitutions de Boniface VIII interdisant sauf exceptions que quiconque soit extrait de son diocèse pour être jugé, ou jugé par des juges venus d'un autre diocèse que le sien.
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Le comte Amédée II de Savoie, sa femme Mahaut et son fils Humbert rendent aux chanoines réguliers de Saint-Maurice le droit d'élire librement leur abbé, comme ils en avaient joui du temps où les chanoines de cette abbaye étaient séculiers, se réservant le droit de gîte. D'autre part, le comte Amédée II, sa femme et son fils demandent que le jour de la mort du feu comte de Savoie Humbert II soit inscrit au martyrologe de Saint-Maurice pour être célébré chaque année. Amédée II prête serment dans les mains d'Ayrardus, évêque de Maurienne, pour cette restitution du droit d'élection.
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Rodophe III, roi de Bourgogne, cède à l'abbaye de Saint-Maurice la villa de Pully, sur la demande de Burchardus, archevêque de Lyon, préposé à l'abbaye de Saint-Maurice.
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