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Les informations ci-dessous représentent la structure des différents fonds d'archives, conformément à la terminologie précisée par la norme internationale ISAD(G) : un fonds peut être divisé en sous-fonds, série, sous-série, dossier et pièce. Si vous voulez des explications détaillées sur la façon de se déplacer dans cette hiérarchie, cliquez ici

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Les marronniers ou porteurs de Saint-Rhémy et d'Etroubles s'étant plaints auprès du nonce du Piémont de ce que l'hospitalité n'était pas exercée selon les règles et les coutumes au Grand-Saint-Bernard, le nonce condamna le prévôt Tillier à remédier à ce défaut. Le prévôt en appela au Saint-Siège, occupé alors par le pape Clément VIII, qui délègue l'archevêque de Tarentaise, les évêques d'Aoste et de Sion pour connaître la cause et porter une sentence définitive. Signé : C. Gabrielius. Au dos : Ant. Rabeus. Bref apostolique et regeste.
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Requête du prévôt Tillier adressée à l'évêque d'Aoste et à son official Christophe Guicharda, leur exposant que d'après les constitutions, les marronniers n'ont droit qu'à un quartier de pain et qu'on ne peut leur donner davantage, étant donné la diminution des rentes des quêtes. Après cette requête, la curie d'Aoste, cite les syndics de Saint-Rhémy et d'Etroubles à comparaître le 6 du mois courant [septembre-décembre ?].Signé : Nicolas Malliet, docteur en droit.
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Passage du Saint-Bernard par le colonel Jean-François de Watteville délégué de Berna auprès de la cour de Savoie, en Piémont. Photocopie envoyée Par M. G. De Watteville, de Pully, au prieur du Saint-Bernard le 17 juin 1976, avec une lettre signée par G. de Watteville.
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Le refuge de l'hospitalet et la morgue voisine ayant été détruits par une avalanche le 4 janvier 1706, les chanoines les firent reconstruire et le prieur claustral, Pierre-François Ballalu, a béni la morgue et la fosse voisine où les corps trouvés dans la morgue avaient été déposés. Signé : Pierre-François Ballalu, prieur claustral; et Antoine Dorsaz, CR, secrétaire;
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A la demande du chevalier Kalbermatten, le prévôt Boniface lui envoie à Courmayeur 60 livres pour ses frais de séjour. Dette remboursée le 31 décembre 1725. A son retour de Courmayeur ledit Kalbermatten a été hébergé à Saint-Jaquême du 5 au 13 août puis à l'Hospice. Signé : de Kalbermatten.
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Verbal de la recherche de deux hommes restés dans les neiges. 2 hommes meurent d'épuisement dans la combe des morts; les religieux n'ayant pu les découvrir pour les sauver. Ils ne furent trouvés que l'année suivante et ensevelis, l'un le 23 juin et l'autre le 21 juillet. Signé : François Michellod, prieur.
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Au prieuré. François Michellod, administrateur da la prévôté atteste que, selon son souvenir et le dire des anciens religieux, la maison du Saint-Bernard avait le droit d'ensevelir ceux qui mouraient depuis le Cretton de Jeanne, situé au-dessus de l'hôpital de Fontintes, jusqu'au fonds de Proz, du côté du Valais, "vis à vis d'une croix faite dans le rocher à droite en descendant de Saint-Bernard". Droit d'"échute". Fait vers 1750 (?) 18 avril,
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Le marronier faisant sa tournée descend jusqu'à "Maringou", il apprend que Grégoire Darbellay-Moura, chasseur a été pris dans une avalanche aux Plans Sades, il alerte les chanoines qui descendent avec des pelles pour découvrir le corps de la victime. Cela fait, le chanoine Vaudan, tout an affirmant les droits d'échute du Saint-Bernard, permet pour cette fois que le corps du défunt soit porté à Liddes, ainsi que le fusil. Témoins du verbal : Jean- André Vaudan; C.R. Laurent Hypolyte Balet; Maurice-Victor Lattion; Pierre-Sébastien Frossard et autres; et Georges Frédéric, frère du défunt, déclare le 27 janvier suivant, par-devant le notaire Jean-Joseph Massard, que les chanoines ont autorisé le transport à Liddes du défunt sans préjudice de leur droit d'échute.
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Passages de troupes françaises avant celui de mai 1800 : - d'un détachement de 90 hommes en avril 1798; - de l'armée du Rhin (43'000 hommes) du 24 mai au 11 novembre 1798; - troupes stationnées à l'hospice en 1799. Documents relatifs au passage et aux fournitures faites; mémoires et correspondance : entre autres : copie d'une lettre du 23 novembre 1799 (2 frimaire au 8) à Paris, adressée par Alexandre Berthier, ministre de la guerre, à Talleyrand, ministre des relations extérieures au sujet des paiements des fournitures faites par le Grand-Saint-Bernard (32'378 livres). Il a chargé le chef de l'armée de l'Helvétie de se concerter avec la chambre administrative du Valais pour ce paiement.
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Passages de troupes françaises avant celui de mai 1800 : - 1799, 10 mai : arrivée à l'hospice de 50 soldats; - 1799, 2 juillet, passeport délivré au prieur de l'hospice; - 1799, avril - septembre; Bordereaux des fournitures faites aux troupes françaises stationnant à l'hospice du Saint-Bernard.- Lettre de de Nucé au sujet de ces fournitures et de chiens.
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Le commissaire de Suisse auprès de l'Armée française avertit la chambre administrative du Valais que l'entreprise Rebuffet et Gerandon est chargée par le gouvernement français du transport des munitions et des bagages de l'armée. Si des communes sont requises à faire des charrois, elles devront exiger des lettres de voiture afin que la compagnie Rebuffet puisse être rendue responsable des négligences. Signé pour le commissaire du gouvernement : Zimmerlin. Copie du secrétaire Bouvin.
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Le commissaire des guerres du district de Martigny mande à la commune de Bovernier qu'elle doit fournir 15 quintaux de foin et les transporter à Martigny, au magasin français des fournitures de guerre. Signé : Morand.
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Adieux des officiers français aux religieux du Saint-Bernard. Poésie écrite par Vivenot, chef de bataillon "qui a gardé pendant 133 jours le poste du Saint-Bernard"; 1800, 13 avril". Extrait d'une chronique sur le passage de Napoléon à Martigny, écrite par un prêtre du Valais; 1800, 13 mai.
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La municipalité de Sembrancher est prévenue qu'elle devra loger 2 régiments de cavalerie, le 18 mai. Incomplet, non signé.
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Bordereaux des fournitures de l'hospice aux armées qui se rendent en Italie, l'armée du Rhin, l'armée de Réserve, du 3 mai au 9 juillet et l'armée d'Italie. Lettre de Dalbon, commissaire des guerres au prieur du Saint-Bernard pour lui dire qu'il passera à l'hospice le 9 juillet. Lettre du 6 juillet 1800. Récapitulation des bordereaux envoyés à M. Dalbon, le 20 juillet. Récapitulation des bordereaux et des corps d'armée qui ont passé le col.
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Documents relatifs aux sorts de la voiture de Napoléon laissée à Martigny.
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Correspondance relative au passage des armées en 1800 surtout aux indemnités de guerre, à la rétribution du guide de Napoléon, Dorsaz, et aux remerciements des officiers ayant passé par le Saint-Bernard. Lettres s'échelonnant entre mars 1800 et mai 1807, numérotées de 1 à 32.
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"Liste de quelques personnages célèbres qui ont passé par la vallée poenine des Véragres et de Mont-Jou". Cette liste part de l'an 556 avant le Christ et continue jusqu'au passage de l'armée de Réserve en mai 1800. Non signé : semble de la main de Murith.
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Copie d'une petite chronique du passage de Napoléon I et des faits antérieurs et postérieurs, de 1719 à 1809. Extrait du journal d'un paysan de Bourg-Saint-Pierre, écrit en partie à l'époque du passage et en partie en 1808 et 1809. Ce journal se trouvait chez Adolphe Genoud, président de Bourg-Saint-Pierre. Anonyme.
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Le grand bailli du Valais communique au prévôt une demande du ministre des relations extérieures de la république française au sujet d'un certain Sidrac, décédé. Si ce Sidrac n'a ni héritiers ni créanciers, ses avoirs seront dévolus au trésor public du pays où il est mort ou mieux à l'hospice du Saint-Bernard ou à ses succursales du Simplon et du Mont-Cenis. Signé : Augustini.
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Le général Berthier écrit au supérieur de l'hospice du Grand-Saint-Bernard, lui demandant, le prix du vin distribué à sa troupe lors de son passage par le Saint-Bernard, le 12 novembre. L'hospice avait fourni aux soldats à cette occasion 600 bouteilles. Signé : César Berthier.
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Le préfet du département du Simplon écrit au prévôt Rausis au sujet d'un soldat, Pierre Simon, tambour de la 73è demi-brigade, mort sur le Saint-Bernard lors du passage de l'armée française. Signé : Derville Maléchard.
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Le préfet du département écrit au prévôt pour préciser le mode de noter les passants aux hospices du Saint-Bernard et du Simplon. Signé : Derville Maléchard.
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Chronique de ce qui se passe au Grand-Saint-Bernard, de 1792 à 1815, des émigrés français et surtout des mouvements de troupes avec nombre de détails sur le passage de Napoléon. Anonyme mais d'un témoin oculaire, un chanoine probablement.
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Engagements entre soldats français et autrichiens sur le col du Saint-Bernard les premiers jours de janvier 1814. Le détachement autrichien sous le commandement du lieutenant Vallentich demeure des mois à l'Hospice et reçoit nombre de fournitures et de l'hospice et des communes d'Entremont. D'autres détachements autrichiens occupèrent ensuite le col. Le général Frimont passe le col le 22 juin 1815 assurant que seul un détachement de 30 hommes passera encore le Saint-Bernard. Signé : J. Darbellay, prieur; 3 lettres : l'une au baron Simbschen, commandant des troupes autrichiennes en Valais, et les 2 autres au prévôt Genoud.
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M.J. de Horrer, "tribun militaire, chevalier", célèbre, en vers, le dévouement des chanoines du Saint-Bernard dans l'exercice de l'hospitalité.
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Lettre de Laurette de Courten à un chanoine : elle annonce sa visite à l'hospice pour le début de juillet, et annonce des envois, etc. Signé : Laurette de Courten.
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2 lettres d'un prêtre français, hébergé à Martigny durant la révolution qui envoie 300 frs au prévôt en compensation des frais de son séjour dans la maison du Saint-Bernard. Signé : l'abbé Tixier, chanoine.
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Le prieur de l'hospice écrit au prévôt au sujet de la mort du chanoine Cart et de ses compagnons, qui allaient placer les piquets indicateurs du chemin d'hiver (4 morts) : le buffetier, un "marronier" de Liddes, les autres ne sont pas encore repérés sous l'avalanche. Signé : Hubert, prieur.
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Henri Cailleret est mort au Saint-Bernard. Sa soeur écrit à l'hospice que les 300 fr. envoyés sont destinés à faire une croix à placer sur la tombe du défunt et aux frais de sépulture. Signé : Mme Desreumaud(?)-Cailleret.
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Le procureur écrit au prévôt au sujet d'un certain Paillet, malade dans un hôpital de Turin, pour lequel il a dû payer 225 frs que remboursera son frère, recteur de Brigerberg, entre les mains du prieur du Simplon. Signé : Dorsaz, C.R.
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Noms des voyageurs les plus illustres qui ont passé le Grand-Saint-Bernard depuis 1812. Non signé.
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En reconnaissance de l'hospitalité reçue, L. Blancheray, de Lausanne, envoie à l'hospice 3 pièces pour le médailler de l'hospice. Signé : L. Blancheray.
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Remerciements et souvenirs émus d'un passage au Saint-Bernard. Signé : Rupert.
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Le commandant du premier bataillon des Bersaglieri demande au prieur claustral la faveur de visiter l'hospice avec sa troupe. Signé : le major commandant V. Radicali ..(?)
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Lettre de remerciements pour l'hospitalité et transcription de l'inscription de l'arc de Suse. Signé : François Flores d'Arcais.
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Virginie de Weiher envoie à un chanoine du Saint-Bernard un tapis pour la chaire de l'église du Saint-Bernard et un tableau représentant le paysage que ce chanoine avait sous les yeux de sa cellule : le Pain de sucre, la Tour des Fours, le glacier des Fourchons (Forzasse) et les bords du lac. Maintenant qu'il est à Martigny, ce tableau lui rappellera l'hospice. Signé : Virginie de Weiher Nimptsch.
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Monseigneur Bovieri remercie le clavendier du Saint-Bernard pour la réception qu'il lui a faite à l'hospice et le prie de remercier tous ses confrères. Signé : M. Bovieri, chargé d'affaires du Saint-Siège;
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M. Blair, écrit au chanoine Roh, alors prieur claustral, qu'il lui envoie de l'argent, 300 frs pour qu'il puisse faire une abondante provision de bois afin de mieux se chauffer durant l'hiver. Signé : W? J. Blair [de Londres].
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Le conseil d'Etat demande au prieur des renseignements sur un certain Augustin dell'Oro mort sur la montagne du Saint-Bernard et trouvé le 7 septembre passé, et sur 6 italiens qui ont péri sur la montagne les 17 et 23 novembre. Signé : Le chef du département (de Rivaz et Walther).
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Le prévôt Deléglise se trouvant à Turin, un prêtre de l'observance de Saint-François lui dédie un poème exaltant l'oeuvre hospitalière de sa congrégation. Ecrit par Philippo Mancini, prêtre de Saint-François.
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La reine Marguerite visite l'hospice où elle est reçue par le prévôt Deléglise et ses religieux. Elle est montée à dos de mulet depuis Saint-Rhémi, le 19 août. Relations de cette visite dans 3 journaux : l'Unità Cattolica du 21 août 1880, Corriere du 22 août et supplément au No 34 de la feuille d'Aoste.
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Le docteur Pagliani annonce l'arrivée à l'hospice d'une vingtaine de personnes de la société italienne d'hygiène pour le 2 septembre. Signé : docteur Luigi Pagliani, professeur à l'université de Turin.
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"En 1852, David-Frédéric-Félix Ginier, d'Ormont-dessous, doit avoir perdu la vie en passant le Saint-Bernard et maintenant ses parents sont en instance pour faire déclarer son absence". Demande de précision à ce sujet. Signé : F. Paillard, qui écrit de Bex, le 22 juin 1884.
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Le département de l'intérieur ayant appris de l'officier d'état civil de Bourg-Saint-Pierre le décès de 2 personnes à proximité de l'hospice, demande un surcroît de renseignements à ce sujet. Il prie le prévôt de faire procéder à la levée des corps sur la montagne et d'en faire rédiger un procès-verbal qui sera adressé au département de justice et police. Signé : le chef du département de la Pierre.
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Lettres de remerciements de voyageurs reçus à l'hospice. Du colonel Perrin, directeur d'artillerie à Grenoble; du docteur Jolibois, d'Aoste; d'A. de Saurimont, ancien chef du mouvement au canal de Suez, du comte Henri de Puiseux et du chanoine Ad. Moret, chanoine de l'abbaye de Saint-Maurice.
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Le 4 septembre 1884, Giacomo Santi est décédé à l'hospice. Sa veuve, Antoinette, fait transporter son corps à Tunis.
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