Fondation des Archives historiques de l'Abbaye de Saint-Maurice image de texte ancien
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Les informations ci-dessous représentent la structure des différents fonds d'archives, conformément à la terminologie précisée par la norme internationale ISAD(G) : un fonds peut être divisé en sous-fonds, série, sous-série, dossier et pièce. Si vous voulez des explications détaillées sur la façon de se déplacer dans cette hiérarchie, cliquez ici

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Vu la défense faite à l'abbaye de Saint-Maurice de recevoir des novices et la charge imposée au Saint-Bernard de desservir les hospices du Simplon et du Montcenis, l'évêque de Sion conçut l'idée d'une réunion des deux maisons. Les conditions faites à cette union par le Saint-Bernard ne sont pas acceptées par le chapitre de l'abbaye et le projet d'union est abandonné. Lettres signées Antoine Fournir, aumônier, qui sert d'agent de liaison entre l'évêque et le Saint-Bernard et l'abbaye.
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Le ministre des finances de la République helvétique ordonne à la Chambre administrative du Valais de faire rédiger l'inventaire des biens des couvents selon le nouveau formulaire qui lui est envoyé. Signé par les préposés au Ministère des finances, Zurleden, Jenner, etc. Pour copie conforme: Bonnefoi. En exécution d'une missive du Département des finances de la République helvétique, la Chambre administrative du Valais communique au prévôt que le Saint-Bernard aussi est astreint à cet inventaire.
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La prévôté de Verrès menacée de disparition envisage de s'unir à celle du Saint-Bernard; un projet d'union est élaboré mais sans suite.
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Documents relatifs à l'hospice du Mont-Cenis: lieu de construction, affectation d'une rente de 20'000 francs, demandes adressées au prévôt pour qu'il envoie des religieux, impossibilité du prévôt de satisfaire à cette invitation et autres mesures prises pour la mise en activité de l'hospitalité sur le Mont-Cenis, hospitalité confiée finalement aux bons soins de dom Gabet, ex-abbé de la Trappe de Tamié. Plus un règlement pour les cantonniers du Mont-Cenis, imprimé en 1811 et autre règlement pour la perception des taxes sur les usagers de la route du Mont-Cenis, de la même année.
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Augustini, grand bailli du Valais, demande au prévôt que la Maison du Grand-Saint-Bernard prête à l'Etat le plus d'argent possible pour "soulager le pauvre peuple." Signé : Augustini, grand bailli.
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Lettre adressée à Joachim Voy à Nice qui a posé une foule de questions sur l'établissement d'un hospice au col de Tende. Le prévôt lui répond en prenant exemple sur ce qui se fait au Grand-Saint-Bernard et en lui disant qu'il n'a pas assez de religieux pour prendre en charge un tel hospice. Signé : Luder, prévôt du Grand-Saint-Bernard. Copie.
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Charles Debon écrit au procureur du Saint-Bernard que le général Denucé, alors à Paris, l'a chargé de faire savoir au prévôt de retarder jusqu'à l'automne l'envoi de viande de bouquetin de peur qu'elle ne se gâte. Signé : Charles Debons.
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La République du Valais décrète que le Saint-Bernard et l'Abbaye de Saint-Maurice auront chacun un protecteur désigné par l'Etat. Ce protecteur pour le Saint-Bernard a été désigné en la personne du conseiller d'Etat de Rivaz. Augustini, grand bailli, proteste de son dévouement à la Maison du Saint-Bernard. Signé : Augustini.
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Murith écrit au prévôt élu Rausis (qu'il appelle administrateur) pour le dissuader de prêter à l'Abbaye un professeur de latin vu les besoins de la Maison. Ces Messieurs de l'Abbaye veulent prendre les bonnes places et faire jouer le rôle de bouche-trou aux chanoines du Saint-Bernard. Il serait beaucoup plus important de s'occuper du rachat des fiefs et des dîmes selon l'invitation de l'évêque de Sion. Signé : Murith, C.R.P.
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Lettres du procureur adressées au prévôt touchant la santé de M. Vaudan, des fiefs possédés dans le pays de Vaud, etc. Signé: Terrettaz, C.R.
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Lettres du prieur claustral J.-B. Darbellay au prévôt Rausis touchant les affaires de la communauté, du Simplon, les quêtes dans les cantons suisses, l'union avec l'abbaye de Saint-Maurice, etc. Signé: J.-B. Darbellay, prieur.
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Démarches faites par le prévôt et Tousard d'Olbec, secrétaire d'Etat du Valais, auprès de Talleyran pour obtenir du gouvernement français une indemnité des frais occasionnés par le passage de l'armée de réserve en 1800 et une augmentation des revenus de l'Hospice par le retour des biens perdus dans les Etats sardes ou par la faculté de quêter en France. Le ministre de l'Intérieur répond que ces biens affectés à l'hôpital mauricien d'Aoste ne pouvant lui être ôtés et que le prévôt est invité à faire connaître avec précision le montant des revenus qui lui seraient nécessaires. Sa demande serait transmise à l'Empereur dont la bienveillance envers le Saint-Bernard est connue.
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L'évêque de Sion écrit au prévôt pour le remercier d'un ouvrage qu'il lui a envoyé. Il lui parle de la cécité du prieur de Bourg-Saint-Pierre et de l'ordination à la prêtrise de M. Blanc. Signé : J.-Antoine, évêque de Sion.
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Lettre du nonce au prévôt autorisant le chanoine Ballifard à porter une perruque même durant la célébration de la messe, la conclusion de contrats mais avec approbation du nonce, le prévôt à exiger une récitation uniforme du bréviaire selon le calendrier de l'Ordre. Il favorisera l'union de l'Abbaye au Saint- Bernard mais on ne lui a pas encore écrit à ce sujet. Signé : Archevêque Beryti, nonce.
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Le prieur claustral annonce au prévôt Rausis la mort de Jean-Pierre Carron, à l'hôpital Saint-Isidore à Turin et qu'il a reçu une boîte de reliques; il la garde jusqu'à son arrivée pensant qu'elle est destinée à l'église de l'Hospice. Signé : Genoud, prieur claustral.
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Monseigneur de Preux, évêque de Sion, annonce son sacre au prévôt Rausis, il l'y invite et lui demande un prêt d'argent pour couvrir les frais. Signé : Joseph-Xavier de Preux, évêque désigné de Sion.
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Le nonce écrit au prévôt qu'il viendra en Valais en novembre pour la consécration de l'évêque de Sion et qu'il fera une visite à l'hospice du Saint-Bernard si le temps le permettra. Signé: F. arch. Beryti et nonce apost. Sceau.
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Lettre de l'évêque de Sion au prévôt. Il se met à disposition pour les ordinations des chanoines ayant faculté de les ordonner même extra tempora; il lui parle de la difficulté faite à l'Eglise d'acheter des biens-fonds parce qu'ils sont immortalisés soit soustraits à l'impôt de main-morte et du rachat des dîmes qui peut se continuer de gré à gré. Signé : Joseph-Xavier, évêque de Sion.
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Lettre du nonce au prévôt: il lui concède la faculté d'autoriser ses chanoines à ouvrir les veines, à amputer des membres gelés et à les traiter au feu. Il permet aux frères quêteurs de manger de la viande le vendredi, de lire les livres à l'index et d'entendre les confessions. Signé et scellé par F. arch. de Beryti (Beyrouth) et nonce apostolique. J. Wully, secrétaire.
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Le préfet du Simplon écrit au prévôt qu'il a remis sous les yeux de l'Empereur la lettre qu'il lui a écrite et qu'il l'a lue avec intérêt. Le ministre des Affaires étrangères l'a assuré que l'Empereur ne négligera aucune occasion de le seconder. Signé : Derville Maléchard.
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Ebauche de mémoire adressé à Talleyrand, ministre des Relations extérieures sur les faux quêteurs du Saint-Bernard, les bénéfices de France cédés en partie à l'ordre de Sainte-Geneviève, la perte des biens situés dans les Etats sardes en compensation de laquelle Louis XV accorda aux chanoines du Saint-Bernard l'autorisation de quêter en France, le retrait de cette autorisation, la compensation accordée par les rois sous la forme d'une pension de 3'000 francs supprimée par la Révolution, l'opportunité de permettre les quêtes en France ou de pourvoir autrement aux nécessités de l'Hospice du Saint-Bernard, la demande de Napoléon à Murith sur ce qui serait le plus profitable à l'Hospice, la réponse de Murith que ce serait de lui faire restituer les biens qu'il avait en vallée d'Aoste, la promesse de Napoléon d'y penser, l'opportunité de soumettre ces considérations à l'empereur qui mieux que tous saura pourvoir aux nécessités par les quêtes ou autres moyens.
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Deux lettres pour annoncer l'arrivée à Martigny du vice-roi d'Italie, de Beauharnais, qui voyage incognito sous le nom de comte de Stia. Il arrivera à Martigny le 11 ou ou le 12 ou le 13 pour aller à Milan par le Simplon. Signé : Derville Maléchard.
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"Notice sur le Valais occupé par les troupes françaises du 9 novembre au 16 décembre, époque de l'annexion du Valais à la France". Notice écrite par Murith.
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Ebauche de lettre destinée à l'empereur demandant son intervention en faveur du Saint-Bernard. Réponse du préfet Derville Maléchard demandant une meilleure rédaction de cette supplique, du 24 août 1811.
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Supplique adressée aux ministres des finances et des cultes par le prévôt Rausis pour obtenir de l'empereur la confirmation de la jouissance des bois de Ferret, des moyens de subsistance autres que les quêtes, la conservation de la maison de Martigny et des bénéfices-cures. Le prévôt de l'ordre, abbé Rausis.
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"Etat du personnel de la congrégation religieuse de l'hospice du Mont Saint-Bernard existante dans le dép. du Simplon, et Etat matériel de la congrégation religieuse..." "Fait et certifié véritable par le prévôt de l'ordre hospitalier, l'Abbé Rausis".
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Le préfet du Département du Simplon mande au prévôt du Saint-Bernard de se rendre à Saint-Maurice pour y recevoir de M. Derivaz une communication de la plus haute importance. Il doit prendre avec lui les Constitutions et autres titres relatifs au Saint-Bernard dans le plus grand secret. Derville Maléchard,,
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Exemptions de service militaire en faveur de religieux et de domestiques du Grand-Saint-Bernard.
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L'évêque de Sion félicite le prévôt au sujet de la réception des novices. Il lui parle de la reddition des comptes du Saint-Bernard qui se fera à fin septembre et de chanoines qui ont demandé une pension au Ministère des Cultes. Jos.-Xavier, évêque de Sion.
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Lettre d'Augustini. président du Conseil général du dép. du Simplon, protestant de son dévouement à la Maison du Saint-Bernard. Autre lettre du même, non datée mais d'avant 1810 mentionnant une invitation du curé de Liddes et l'affaire des bois de Ferret.
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Rachat des dîmes. Echanges de vue entre l'Etat du Valais, d'une part, et les corporations ecclésiastiques, évêché, Saint-Bernard, Abbaye, nonciature, d'autre part.
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"Congrégation hospitalière des chanoines réguliers du Grand-Saint-Bernard et du Simplon", au temps où le Saint-Bernard et Saint-Maurice étaient réunis. L'abbé de Saint-Maurice Pierraz figure au 2e rang, après le prévôt Rausis.
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Le préfet demande au prévôt de lui transmettre la liste des novices nés en 1793 et 1794 appelés à la conscription, et le 4 mars, il lui annonce la visite de la commission de conscription. Signé : Derville Maléchard.
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Le préfet du Département du Simplon écrit au prévôt que le ministre des cultes lui a fait savoir que "les bulles originales constitutives des pouvoirs du prévôt du Saint-Bernard et de l'abbé de Saint-Maurice sont au nombre de celles qui ont été annexées à son rapport sur ces établissement et qu'elles doivent en conséquence rester jointes au décret". Signé : Le Comte de Rambuteau.
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Lettres de prêtres français qui ont séjourné dans les diverses paroisses du Saint-Bernard durant la Révolution. Demandes d'aide et remerciements.
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Le prévôt du Saint-Bernard et le chapitre adressent une supplique à l'empereur d'Autriche pour la conservation de la dotation du Simplon constituée par les fermes de Lombardie.
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Le baron de Viney écrit au prévôt pour qu'il seconde son fils chargé du recrutement d'une partie des Cent Suisses de la garde du roi dont s'occupe H. de Courten. Dans une lettre du 29 novembre 1815, il demande au prévôt de bien vouloir le seconder dans les recherches au sujet des menées de Bonapartistes et du séjour à Martigny de Baiocci, beau-frère de Bonaparte. Signé : Le baron de Viney.
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Lettres adressées au prévôt au sujet de soldats hébergés dans les hôpitaux de Sion et de Martigny que le prévôt a aidés financièrement. Signé : Belbas, prêtre et Delasoie, conseiller d'Etat.
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Démarches pour obtenir un courrier journalier postal de Martigny à l'Entremont et au Saint-Bernard. En 1816, est organisé un service de Martigny à Aoste, deux fois par semaine.
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Lettres de Joseph Darbellay, prieur claustral, adressées au prévôt Genoud touchant son accession à la prévôté, les mouvements de troupe sur le col, le rétablissement des relations avec les Etats sardes, la vie de la communauté et les touristes anglais.
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Schaller, instituteur, qui a quitté le Saint-Bernard depuis 6 ans, écrit au prévôt pour lui donner de ses nouvelles et, ayant appris qu'on a construit un orgue neuf au Saint-Bernard, pour lui présenter un jeune homme comme organiste. Il a décelé de faux quêteurs. Signé : Schaller, Instituteur.
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Le chanoine Derivaz écrit au prévôt au sujet de la mort de M. Murith et d'un manuscrit à lui prêté traitant de la date de la mort de S. Bernard, qui ne peut être 1008 puisque ce saint a été contemporain d'Henri IV, et de la chronologie des prévôts du Saint-Bernard. Il aimerait bien recouvrer ce manuscrit.
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Pancrace de Courten écrit au prévôt au sujet de la formation du Corps des Cent Suisses de la garde du roi de France remise en question par le retour de Napoléon, demande M. Michellod comme précepteur de ses enfants et donne des nouvelles des fermes du Piémont. Signé : Pancrace de Courten.
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Lettres de l'abbé de Saint-Maurice Etienne Pierraz au prévôt du Saint-Bernard pour l'inviter à sa bénédiction abbatiale, demander des chanoines du Saint-Bernard à certains postes, traiter des difficultés surgies à l'occasion d'une pension accordée à l'abbé et au prévôt, de la profession religieuse de M. Claivaz, de la reprise de l'autonomie des deux maisons, de thèses et du chanoine Jean-Nicolas Addy, prieur de Vétroz.
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L'exemption des droits de sortie des Etats sardes en faveur de l'Hospice du Saint-Bernard. Suppliques de religieux et concessions accordées (1814-1818). Plus une lettre du 19 novembre 1866 adressée au procureur du Saint- Bernard pour lui demander s'il y a des antécédents de cette exemption.
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Le comte Radoüski dit au prévôt son admiration pour la maison du Saint-Bernard et son supérieur et demande à être reçu au nombre de ses religieux. Le prévôt lui répond en lui conseillant de faire une expérience de la vie à l'Hospice avant de formuler une demande définitive.
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Lettre adressée au prévôt Jean-Pierre Genoud par le nonce à l'occasion des voeux du début de l'an. Il lui dit entre autres combien lui fut agréable la lettre qu'il reçut de lui à son arrivée en Suisse comme nonce. Signé : V. archevêque Nisiben, Nonce apostolique.
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Ayant reçu demande du prévôt pour l'autorisation de faire un échange de vignes et de propriétés dépendant de l'administration générale de la Maison et aussi du prieuré de Bourg-Saint-Pierre, le nonce lui répond que cela dépasse sa compétence, qu'il en réfère au Saint-Siège et qu'il lui transmettra sa réponse. Signé: Vincentius, archiep. Nisiben.
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Le gouvernement du Valais ayant obtenu du Saint-Siège la faculté de percevoir un impôt militaire sur les biens ecclésiastiques, il fut convenu avec le clergé diocésain que cet impôt serait affecté à la construction et à l'entretien d'un séminaire. La prévôté du Saint-Bernard ne consentit pas à ce marché et demanda au Saint-Siège d'être délivrée de cette charge puis renonça à ce recours vu la modicité de cette taxe militaire.
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Subsides accordée par l'Etat sarde en riz, maïs, blé et argent (2400 écus pour les constructions en 1821), etc., et lettres de remerciements.
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