| Contenu | Liasse intitulée : correspondance poétique Darbellay-Gentil. 10 pièces. a) Epître en vers octosyllabiques, de Darbellay à Gentil. Papier, 2 folios, 18.8 x 27.7 cm, français. Non daté. b) "Copie d'un écho" qui est venu, dit-ont, de Genève. Vers alexandrins, avec l'écho en fin de chaque vers. Probablement satire de Napoléon, qui risque de tout perdre en luttant contre une coalition des Russes, de l'Espagne et de l'Angleterre. 20 vers non signés. Papier, 18.5 x 24.1 cm, français. c) Vers de 12 syllabes dans lesquels Gentil, s'excuse d'avoir été retenu à Saint-Maurice et de n'avoir pu donner suite à un invitation de Darbellay à monter au Saint-Bernard. Papier, 2 folios, 17.3 x 20.6 cm, français. Non daté. Au dos, adresse à Darbellay, Bourg- Saint-Pierre. d) Vers de 8 syllabes adressés par Gentil à Darbellay : réponse à un "impromptu" que Darbellay lui a envoyé; éloge de ces vers et de la table du châtelain Quartéry, chez qui Gentil est bien nourri, etc. Papier, 2 folios, 17 x 20.5 cm, français. e) Vers de 12 syllabes de Gentil à Darbellay, à la suite d'une visite du neveu de Darbellay, de dons d'habits. Le serment civique en France n'est pas admissible. La souveraineté héréditaire appartient aux Bourbons etc. Papier, 2 folios, 17.2 x 20.6 cm, français. f) "No 18, la fille de Louis XVI" [1793 ?]. 7 strophes de 4 vers de 10 syllabes. Papier, billet, 8.5 x 12.1 cm, français. g) Poème de 540 vers de 12 syllabes [de Gentil] intitulé : question : la liberté promise par la convention nationale eSaint-elle la véritable ? Cahier, 8 folios, 10.5 x 17.3 cm, français. En marge, nombre de vers, et quelques corrections et adjonctions. h) 1795, 29 juillet, Saint-Maurice. Lettre de Gentil, directeur général de la Congrégation de Saint-Joseph [adressée à Darbellay?] parlant de la mort tragique de l'abbé de Saint-Maurice, de sa succession. Les événements en France semblent assurer un prompt retour de Louis XVIII. Protection accordée par le prince de Condé à la Congrégation. i) 1795, 19 août. Lettre de Gentil à Darbellay, prieur de Bourg-Saint-Pierre. Il est retenu à Saint-Maurice en raison de la situation en France etc. Suit un poème en vers de 8 syllabes sur le nouvel abbé Exquis (17 strophes, la dernière en 6 vers de 12 syllabes, dont les premières lettres donnent le nom : Esquis). A la suite, minute de la réponse de Darbellay, datée du 19 août 1795, en vers de 12 syllabes, où il reproche à Gentil sa paresse à venir le trouver. Papier, 2 folios, 17 x 20.5 cm, français. Au dos : adresse et minute d'un jeu de mot sur le nom Gentil. j) 1795, 31 octobre, Saint-Maurice. Réponse en vers de 12 syllabes, signés par Gentil; il a dû précher à la fête de Saint-Maurice et de ses compagnons. Il invite plutôt Darbellay à venir le trouver. Papier, 17.1 x 20.5 cm, français, mots en latin et finale. |
