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CH > AASM > CHA > 053 > 002 > 009

            
               
    - CHA             
       - 53          
          - 2       
             - 9    
                1
Les abbé et chanoines de Saint-Maurice supplient le Sénat de Savoie d'enjoindre le greffier de l'archevêque de Tarentaise de faire procéder à la collation d'extraits de visites de l'archevêque à Beaufort, par les paroissiens de Saint-Maxime, qui refusent de les reconnaître pour ne plus verser la rente de 200 florins à Saint-Maurice ; elle n'a plus été acquittée depuis 1758
                2
Mention portée au bas d'une supplique : le greffier de l'archevêché de Tarentaise est commis à la collation de certains extraits
                3
Le Sénat de Savoie commet le greffier de l'archevêché de Tarentaise à la collation de certains extraits pour l'abbaye de Saint-Maurice
                4
Conformément à la requête de l'abbaye de Saint-Maurice, maître Daviet, procureur des syndics et conseillers de Saint-Maxime de Beaufort, est cité à comparaître le 20.08.1764 au greffe de l'archevêchè de Tarentaise
                5
Lors d'une visite à Saint-Maxime de Beaufort, après avoir célébré la messe, Claude Humbert de Rolland de Berry, archevêque-comte de Tarentaise, rappelle les devoirs du curé de cette paroisse, notamment la rente de 200 florins due à l'abbaye de Saint-Maurice, selon un accord du 14.06.1633 et le senatus-consulte du 13.05.1720
                6
Lors d'une visite à Saint-Maxime de Beaufort, après avoir célébré la messe, l'archevêque-comte de Tarentaise, François Amédée de Challyes Millet, rappelle que cette paroisse relève de Saint-Maurice d'Agaune et que le curé doit verser à l'abbaye une rente de 200 florins, selon les accords de 1556 et 1633